Il était environ 8 heures quand le gouverneur
de la région, le contrôleur principal de police Bakoun Kanté, a ouvert la
première enveloppe contenant le sujet de rédaction. C’était en présence du
directeur national de l’enseignement fondamental, Issouf Harber, du directeur
de l’Académie d’enseignement de Tombouctou, Ouaya Seyo Tamboura, du directeur
de Centre d’animation pédagogique (Cap), Moufliha Maïga, des membres du Comité
de gestion scolaire (CGS), l’Association des parents d’élèves (APE) et des partenaires, notamment l’Unicef.
Tout
était fin prêt. Candidats, surveillants, sécurité étaient bien en place. Aucune
irrégularité n’a été constatée. Le directeur national de l’enseignement
fondamental et le gouverneur ont demandé aux candidats de rester sereins. Ils
leur ont prodigué de sages conseils comme se doit tout parent dans de telles
circonstances.
Un imposant dispositif de sécurité est déployé partout à l’intérieur et aux abords des centres pour dissuader tout acte de sabotage ou de boycott. Pour l’Académie de Tombouctou, on compte 3.632 candidats dont 2.034 filles contre 1.598 garçons. Ceux-ci- sont repartis en 135 salles dans 29 centres d’examen à travers la région. Pour cet examen de fin d’année dans la Région de Tombouctou, les filles représentent le gros du contingent.
Moulaye SAYAH /AMAP - Tombouctou
Aujourd’hui dans cet ordre d’enseignement, on utilise des lecteurs d’écran pour permettre aux élèves non-voyants ou handicapés auditifs de communiquer avec les autres. Ce progrès est à saluer, mais de gros défis restent aussi à relever.
Communément appelée keratodermie palmo-plantaire, «seprin et boloprin» en langue «bamanankan», la pathologie est assez répandue pendant la saison froide avec le vent frais qui souffle. C’est surtout l’exposition des extrémités, c’est-à-dire la paume des mains ou la plante des pieds q.
Le Programme de développement de la zone spéciale de transformation agro-industrielle des Régions de Koulikoro et péri-urbaine de Bamako (PDZSTA-KB) a tenu, vendredi dernier, la 6è session de son comité de pilotage dans les locaux du ministère de l’Agriculture. L’ouverture des travaux ét.
Le major de la 47è promotion (2023-2025) de l’Ecole militaire interarmes (Emia) de Koulikoro s’appelle Idrissa Tiama de nationalité malienne. Il s’est classé premier avec une moyenne de 16 /20 devant ses camarades de différentes nationalités. Le fils de Diakaria et de Maïmouna Tiama est .
Les 343 officiers d’active de la 47è promotion de l’École militaire interarmes (Emia) de Koulikoro peuvent être fiers du parcours exemplaire de leur parrain au sein de l’Armée malienne. Feu Général de brigade Pangassy Sangaré, puisqu’il s’agit de lui, nait le 11 juin 1947 à Kati. I.
La promotion 2023-2025 compte 343 élèves officiers d’active dont 311 Maliens et 32 étrangers. Le major de la promotion est le Sous-lieutenant Idrissa Tiama du Mali avec une moyenne de 16/20.