
Nous les désignerons par leurs initiales N.D. alias Papou, D.M dit Papito, I.K. surnommé Appâh et B.K, le présumé chef de la bande, plus connu sous le nom de Djiné. Ces jeunes qui ont entre 26 et 33 ans ont été interpellé, il y’a quelques semaines, à Sirakoro-Méguétana, un quartier périphérique de Bamako.
Selon les limiers qui on mené les enquêtes concernant cette bande, outre Sirakoro-Méguétana, le quatuor opérait à Tabakoro, Yirimadio, Dialakorobougou et Thièkénina, tous des quartiers excentrés de la capitale. Apparemment bien organisée, la bande, toujours armée de fusils, semait la terreur au sein des populations des quartiers ci-dessus cités. Leur interpellation est consécutive à la multiplication des plaintes des citoyens qui ont eu la malchance de croiser leur chemin.
Pour venir à bout de la bande, les éléments de la brigade de recherches (BR) du commissariat de police cité plus haut ont exploité les renseignements qu’ils avaient en leur possession à propos du groupe de bandits. Ainsi, les policiers ont compris qu’il pourrait s’agir d’un véritable réseau de malfrats armés évoluant en bande bien organisée.
Par des techniques policières dont ils ont le secret, les éléments de la BR ont d’abord localisé et interpellé trois membres de la bande : N.D. alias Papou, (26 ans), domicilié à Dialakorobougou, D.M. dit Papito, (33 ans), résident de Niamana et I.K. plus connu sous le pseudo Appâh, (28 ans), vivant à Dialakorobougou.
Quant au présumé chef de la bande, le nommé BK alias Djinè (22 ans) il fut le dernier à être arrêté à Dialakorobougou. Il a été interpellé alors qu’il avait en sa possession deux fusils de fabrication artisanale et une cartouche. Disposant de preuves suffisantes contre ces malfrats, les policiers n’ont pas trainé avec leurs dossiers qu’ils ont aussitôt transmis au Tribunal de grande instance de la Commune afin que ces bandits répondent de leurs actes.
D’où, toute la satisfaction du commissaire Tounkara qui a salué le travail abattu par ses hommes et les a encouragés à redoubler d’efforts. Aux populations, l’officier de police demande plus de collaboration avec les forces de sécurité pour lutter efficacement contre la criminalité sous toutes ses formes.
Tamba CAMARA
«Il faut tout un village pour éduquer un enfant », dit une maxime bien connue chez nous. D’où toute l’importance de l’implication de toute la communauté dans l’éducation de l’enfant. à commencer par sa famille, le voisinage, le quartier, voire tout le village..
A seulement 25 ans, celui que nous désignerons par ses initiales S.D risque de passer plusieurs années derrière les barreaux, s’il est reconnu coupable du crime d’assassinat dont il est fortement suspecté..
Le commissariat de police de Sabalibougou a tout récemment mis le grappin sur une bande de malfrats spécialistes du vol et braquage à main armée. Au nombre de sept individus, ces malfrats qui ne juraient que par les engins à deux roues ont longtemps troublé la quiétude des populations de cert.
Les témoins de cet homicide volontaire garderont longtemps en mémoire ce jour où des malfrats ont abattu de sang-froid un jeune homme qui tentait de les arrêter après un vol spectaculaire. Cela s’est passé à Kalabancoro, quartier populaire à la périphérie de Bamako..
Les hommes du commissaire principal de police Moustapha Kanté du commissariat de Kéniéba viennent de se faire entendre à nouveau avec l’interpellation de deux individus suspectés être des trafiquants de produits stupéfiants..
L’opération « Kokadjè » initiée depuis quelques temps par le Directeur régional de la police de Kayes, le contrôleur principal Tapa Oury Diallo, vise à assainir la Cité des rails et ses environs en les débarrassant des bandits de tout acabit. Incontestablement, cela a pour avantages de .