
La rencontre dite de la relance économique du Mali
rassemblera quelques 150 acteurs du secteur public, mais aussi privé, des
collectivités et des représentants des partenaires techniques et financiers.
L’information a été donnée par le président par intérim de la Ccim, Madiou
Simpara, hier à l’ouverture de l’Assemblée générale de l’institution
consulaire. C’était sous la présidence du ministre de l’Industrie et du
Commerce, Mahmoud Ould Mohamed et de plusieurs industriels.
La tenue de ce forum, Selon Madiou Simpara,
se justifie par la volonté du secteur privé national de porter notre économie
nationale à un niveau de compétitivité communautaire et internationale. Le but étant
de contribuer à «la valorisation, la création d’unités industrielles en vue de
la transformation sur place de nos riches et divers produits». Au cours des
travaux, les participants examineront le rapport d’activités 2022 et le
programme 2023 de l’institution consulaire, l’état d’exécution du budget 2022
et le projet de budget 2023. Tous les présidents de délégation feront une
communication en rapport avec les activités phares menées ou prévues courant
2023, entre autres.
Le ministre en charge du Commerce s’est réjoui de l’idée de
tenir ce forum qui aura bientôt lieu à Ségou. Mahmoud Ould Mohamed a félicité
les membres de l’assemblée pour cette initiative. «Je profite de cette occasion
pour exprimer la satisfaction de mon département pour cette action qui
s’inscrit dans le cadre de la relance de notre économie nationale (post-crise),
en faisant de bonnes propositions dans le sens de l’opérationnalisation des
filières porteuses», a-t-il souligné.
À l’en croire, la présente session
ordinaire de l’Assemblée consulaire de la Ccim se tient aussi à une période
difficile pour l’ensemble des pays du monde et plus particulièrement pour les
pays en développement, dont le Mali. Car, selon lui, en plus du combat que
notre pays doit mener pour son développement, il fait face, depuis 2012, à une
crise multidimensionnelle à la fois sécuritaire et sanitaire, liée à la pandémie
de Covid-19. «Ce qui a, naturellement, eu des conséquences négatives sur les
activités des opérateurs économiques que vous-êtes, en entravant fortement la
libre circulation des personnes et des biens sur l’étendue du territoire
national», a-t-il confié.
Le chef du département en charge du Commerce a, à cette occasion, invité tous les commerçants et industriels à œuvrer inlassablement en ce début du mois sacré afin que la population ne manque de rien en termes de denrées et produits de grande consommation tant à Bamako qu’à l’intérieur du pays. De son côté, a-t-il rassuré, le gouvernement ne ménagera aucun effort pour soulager nos compatriotes à passer cette période, en évitant des tensions et des spéculations sur les prix.
Fadi CISSE
Les corps des sept pèlerins maliens qui ont perdu la vie, le 11 Août 1974 au Burkina Faso, dans un crash alors qu’ils rentraient au pays après le pèlerinage de la Oumra en Arabie Saoudite reposent désormais au cimetière de Hamdallaye en Commune IV du District de Bamako..
Le collage d’affiches portant l’inscription «Attention, nouvelle conductrice» sur la voiture fait partie des astuces que certaines personnes au volant utilisent pour se faciliter la circulation dans la capitale. Et apparemment ça marche.
La Haute autorité de la communication (Hac), en partenariat avec le Fonds des Nations unies pour l’enfance (Unicef), a initié une formation des journalistes sur l’application des instruments juridiques nationaux et internationaux relatifs à la protection et à la promotion de l’image des en.
Répondant à la sollicitation du gouvernement, ces derniers s’engagent à mutualiser leurs moyens pour faire face à toute éventuelle pénurie de denrées de première nécessité dans ces localités. Pour y arriver, ils demandent aux autorités de sécuriser les axes routiers reliant les régio.
Après la fête, le temps semble tourné au ralenti. Bamako est encore dans la mouvance de l’Aid el-fitr et cela se traduit par une morosité patente dans plusieurs secteurs d’activité comme les banques et autres établissements financiers.
Cet acte de solidarité estimé à près de 45 millions de Fcfa, concerne 31 lieux de culte dans des villes du pays abritant des agences ou des points de vente de la Banque de développement du Mali (BDM-SA).