La cérémonie de restitution, tenue dans les locaux de cet établissement, était présidée par le secrétaire général du ministère de la Santé et du Développement social, Dr Abdoulaye Guindo en présence du directeur général de l'Anaes, Sékouli Fadjadji Touré.
Pour la première fois, l’Institut d'ophtalmologie tropicale de l'Afrique (IOTA) remporte le premier prix. Il est suivi de l'Hôpital du Mali. Le Centre hospitalier universitaire (CHU) Pr Bocar Sidy Sall de Kati remporte la troisième place. Les critères d'évaluation ont porté sur 22 indicateurs pour chaque hôpital.
Il s'agit, entre autres, du taux de satisfaction des usagers, du taux de conformité des dispositifs de prise en charge des urgences, du nombre moyen des journées d'immobilisation des 10 équipements clefs pour panne, des taux d'infection post-opératoire et de recouvrement des recettes de prestations. Y compris celui de conformité des dossiers médicaux et le taux de conformité de la gestion des déchets hospitaliers.
Cette évaluation s'inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du dispositif d'amélioration de la performance des hôpitaux qui existe depuis 15 ans. Il vise à offrir des services et des soins de qualité. L'objectif est également de faire en sorte que les établissements hospitaliers puissent maximiser leurs efforts avec les moyens dont ils disposent.
Mohamed DIAWARA
La rencontre de Bamako va permettre de mettre en place les organes dirigeants de la BCID-AES, valider les textes fondateurs tout en veillant à la disponibilité des moyens techniques, financiers, juridiques et humains nécessaires à son développement.
À la place des statues des explorateurs et des gouverneurs du Soudan français, se trouvent désormais celles des résistants à la pénétration coloniale et des figures emblématiques de notre Armée.
Il est bien loin ce temps où Radio Mali et L’Essor mobilisaient seuls tous les sens des citoyens maliens et façonnaient l’opinion. Jusqu’en 1983, lorsqu’ils furent rejoints par la télévision nationale. La nouvelle venue ne faisait qu’agrandir la famille des «médias publics»..
Dans un environnement informationnel en constante mutation, démêler le vrai du faux est devenu un enjeu majeur. Et ce combat contre la désinformation nécessite obligatoirement le respect des principes du journalisme..
Les médias traditionnels ou classiques prennent le temps de recouper l’information avant de la diffuser. Tel n’est pas forcément le cas des nouveaux acteurs du métier appelés «vidéoman» qui, à la recherche de buzz et de sensation forte pour se faire plus d’audience, tombent facilement .
Dans les lignes qui suivent, nos deux interlocuteurs se sont prononcés sur les rôles de l’Essor et de l’ORTM dans l’ancrage institutionnel de notre pays, leur adaptation à l’évolution numérique, les défis et la contre-attaque dans le cadre de la guerre informationnelle.