
La conférence de presse s’est déroulée à la Bourse du Travail
L’information a été donnée, vendredi dernier à la faveur d’un point de presse à la Bourse du travail. Il était co-animé par le secrétaire général du Synacome, Moussa Diarra, et le trésorier général du comité syndical de Fekola S.A, Chiaka Samaké. Cette situation, selon le secrétaire général du Synacome, a commencé avec les évaluations de performance «biaisées». «Le chef de département a limité les notes à une moyenne inférieure à (13/20), violant la Convention collective des mines, qui exige une moyenne de passage de 14/20», a dénoncé le syndicaliste.
Selon Moussa Diarra, après plusieurs tentatives infructueuses de négociations depuis cinq mois, le comité syndical a fini par déposer un préavis de grève, suivi d’un ralentissement du travail par les employés concernés pour exprimer leur mécontentement. Un sit-in général a été aussi observé pour dénoncer les procédures disciplinaires injustes contre plus de 100 employés, le comportement «raciste et démotivant» du chef de département de la mine et les pratiques «partiales» du chef des ressources humaines.
Selon le comité syndical, malgré un engagement du directeur général à ne pas sanctionner les travailleurs, le couperet est tombé sur des têtes à travers une vague de suspensions de contrats, en violation du règlement intérieur. Abondant dans le même sens, le trésorier général du comité syndical de la mine de Fekola S.A a souligné que plus de 600 employés ont reçu des demandes d’explication dans cette affaire.
Les points de revendications des syndicalistes ont trait à la levée immédiate des suspensions de contrats et l’arrêt des procédures disciplinaires, à la réembauche sous contrat de Fekola S.A. des employés transférés illégalement à des bureaux de placement. Mais aussi au respect strict de la Convention collective des mines, notamment sur les évaluations de performance.
Le Synacome exige également le respect de la liberté syndicale, conformément aux conventions nationales et internationales, la révision et la mise en œuvre des points d’accord, notamment la mise à disposition d’une grille salariale transparente et la finalisation des travaux sur les primes et la sécurité au travail. Autres points de revendications : la diligence d’une enquête interne sur le dossier dit de l’emploi «des identités douteuses» afin de situer les responsabilités et de punir les auteurs, leurs complices aussi bien que tous les responsables impliqués.
Babba COULIBALY
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