C'est dans cette dynamique que nos vaillants soldats ont mis la main ce jeudi 09 mai, sur plusieurs centaines de têtes d'animaux volés dans différentes localités septentrionales du pays. L'information a été donnée ce vendredi par la Direction de l'information et des relations publiques des armées( Dirpa) sur ses plateformes digitales.
«L'état-major général des Armées informe l'opinion nationale que le 09 mai 2024, les FAMa ont intercepté trois véhicules de transport suspects contenant des animaux volés dans différentes localités», indique la source sécuritaire. Selon la Dirpa, il s'agit d'un troupeau composé de «trente-huit vaches, cent soixante moutons et de cent quatre-vingt chèvres». Le haut commandement rassure que lesdits animaux ont été débarqués au niveau de la fourrière d'Ansongo pour des enquêtes.
En cette heureuse circonstance l'état-major général des Armées salue la détermination et le professionnalisme des FAMa dans la conduite de cette opération ayant permis de récupérer ces bêtes.
Aboubacar TRAORE
La rencontre de Bamako va permettre de mettre en place les organes dirigeants de la BCID-AES, valider les textes fondateurs tout en veillant à la disponibilité des moyens techniques, financiers, juridiques et humains nécessaires à son développement.
À la place des statues des explorateurs et des gouverneurs du Soudan français, se trouvent désormais celles des résistants à la pénétration coloniale et des figures emblématiques de notre Armée.
Il est bien loin ce temps où Radio Mali et L’Essor mobilisaient seuls tous les sens des citoyens maliens et façonnaient l’opinion. Jusqu’en 1983, lorsqu’ils furent rejoints par la télévision nationale. La nouvelle venue ne faisait qu’agrandir la famille des «médias publics»..
Dans un environnement informationnel en constante mutation, démêler le vrai du faux est devenu un enjeu majeur. Et ce combat contre la désinformation nécessite obligatoirement le respect des principes du journalisme..
Les médias traditionnels ou classiques prennent le temps de recouper l’information avant de la diffuser. Tel n’est pas forcément le cas des nouveaux acteurs du métier appelés «vidéoman» qui, à la recherche de buzz et de sensation forte pour se faire plus d’audience, tombent facilement .
Dans les lignes qui suivent, nos deux interlocuteurs se sont prononcés sur les rôles de l’Essor et de l’ORTM dans l’ancrage institutionnel de notre pays, leur adaptation à l’évolution numérique, les défis et la contre-attaque dans le cadre de la guerre informationnelle.