Les délégués du quartier reçoivent le trophée des mains du ministre Fomba
En effet, pendant plusieurs semaines plus de 7.000 personnes issues des 68 quartiers de Bamako et de Kati se sont mobilisées pour nettoyer leur environnement et contribuer au développement et à la propreté de leurs quartiers. Lors de cet événement, les trois quartiers les plus performants de chaque commune et de Kati ont été récompensés pour leurs efforts et leur engagement dans ce processus d’assainissement.
Ainsi, le quartier de l’Hippodrome en Commune II a remporté le premier prix. Il devient ainsi le quartier le plus performant de toutes les communes de Bamako et de Kati. Au terme de la cérémonie, le ministre Fomba a souligné l’importance de cette opération, déclarant qu’il est essentiel de créer un environnement sain pour nos citoyens. «Mon quartier propre» est une opportunité pour chaque résident de Bamako de s’impliquer activement dans l’amélioration de son cadre de vie».
Lors de ces activités, les autorités locales ont collaboré avec les associations de quartier, les écoles et les organisations de la société civile pour assurer avec succès cette opération. Des outils et des équipements ont été fournis pour faciliter les activités de nettoyage et de reboisement.
En outre, des ateliers de formation et des sessions d’information ont été organisés pour sensibiliser la population sur la gestion des déchets et les avantages du maintien d’un environnement propre. L’objectif est d’instaurer des habitudes positives qui perdureront au-delà de la période de l’opération.
Le ministre Fomba a encouragé les habitants de Bamako à continuer à participer à cette initiative communautaire. «Ensemble, nous pouvons transformer nos quartiers et faire de Bamako une ville modèle en matière de propreté et de civisme», a-t-il conclu.
Seibou Sambri KAMISSOKO
La rencontre de Bamako va permettre de mettre en place les organes dirigeants de la BCID-AES, valider les textes fondateurs tout en veillant à la disponibilité des moyens techniques, financiers, juridiques et humains nécessaires à son développement.
À la place des statues des explorateurs et des gouverneurs du Soudan français, se trouvent désormais celles des résistants à la pénétration coloniale et des figures emblématiques de notre Armée.
Il est bien loin ce temps où Radio Mali et L’Essor mobilisaient seuls tous les sens des citoyens maliens et façonnaient l’opinion. Jusqu’en 1983, lorsqu’ils furent rejoints par la télévision nationale. La nouvelle venue ne faisait qu’agrandir la famille des «médias publics»..
Dans un environnement informationnel en constante mutation, démêler le vrai du faux est devenu un enjeu majeur. Et ce combat contre la désinformation nécessite obligatoirement le respect des principes du journalisme..
Les médias traditionnels ou classiques prennent le temps de recouper l’information avant de la diffuser. Tel n’est pas forcément le cas des nouveaux acteurs du métier appelés «vidéoman» qui, à la recherche de buzz et de sensation forte pour se faire plus d’audience, tombent facilement .
Dans les lignes qui suivent, nos deux interlocuteurs se sont prononcés sur les rôles de l’Essor et de l’ORTM dans l’ancrage institutionnel de notre pays, leur adaptation à l’évolution numérique, les défis et la contre-attaque dans le cadre de la guerre informationnelle.