La rencontre a été suivie d’une rupture collective du jeûne
Le MJB a organisé, le dimanche dernier à son siège sis à l’Hippodrome un point de presse, suivi d’une rupture collective de jeûne.
Au cours du point de presse, le président du parti, Cheick Ahmed Théra a présenté la jeune formation politique avant de se prononcer sur l’actualité de notre pays. Par rapport au MJB, il a rappelé que le parti a été fondé le 23 août 2023 après le référendum constitutionnel. «Aujourd’hui, malgré son jeune âge, le parti est présent dans tous les cercles du Mali et dans tous les arrondissements du District de Bamako et à l’étranger», s’est réjoui le président du MJB.
Et d’évoquer que la structuration du parti est toujours en cours afin de faire de cette formation politique la plus représentative sur l’ensemble du territoire national. «Pour cela, des rentrées politiques ont été organisées dans plusieurs localités du pays, notamment à Bamako, Kayes, Ségou, Sikasso et d’autres régions suivront prochainement», a-t-il rappelé. S’agissant de l’actualité nationale, Cheick Ahmed Théra déclarera que le Mouvement Jeka Baara est en totale phase avec les autorités de la Transition en ce qui concerne l’instauration d’un fonds de soutien pour réaliser des projets d’infrastructures. «Car aucun sacrifice n’est de trop pour le Mali. Nous donnons nos 100 Fcfa avec plaisir.
En effet, si nous refusons d’aider notre pays, qui le fera à notre place ?», s’est-il interrogé. Surtout que, selon Cheick Ahmed Thera, des priorités demeurent, notamment l’emploi des jeunes, la fourniture d’électricité, la paix et la sécurité, l’éducation, la santé, la réfection des routes, etc.…
Au niveau du MJB, les militants ainsi que les membres du bureau national remercient les autorités de la Transition pour la mise en place de mesures strictes, afin de prévenir tout drame humain et environnemental sur les sites d’orpaillage. «Notre vœu le plus ardent, c’est de voir la prise d’un décret présidentiel pour interdire l’orpaillage à tous les ressortissants étrangers», a souhaité le président du MJB.
Cheick Ahmed Théra a, en outre, salué l’initiative de la relecture de la Charte des partis politiques. Cependant, le multipartisme intégral doit être conservé, a-t-il suggéré. Pour la réduction du nombre des partis politiques, a-t-il continué, l’État doit suspendre tous les partis qui n’existent que sur papier. Par rapport à l’aide publique aux partis, le président du MJB estime que les autorités de la Transition doivent toujours maintenir la suspension. «Nos ressources sont limitées et le pays est en guerre», a-t-il justifié.
Oumar DIAKITE
Dans un communiqué fait le 20 novembre 2025, le ministre de la Sécurité et de la Protection civile a informé la population de la reprise officielle des activités au niveau du service prémium du « e-passeport AES », dès le lundi 24 novembre 2025 à partir de 7 heures 30 minutes..
Il y a eu une première rencontre d’information et de sensibilisation qualifiée de préconsultation. Puis la consultation publique proprement dite relative à l’Étude d’impact environnemental et social (EIES) pour l’exploitation d’or et des substances minérales du groupe 2 du permis d.
L’Agence nationale d’assistance médicale (Anam) a tenu, hier à son siège, la 24è session ordinaire de son conseil d’administration. C’était sous la présidence de la ministre de la Santé et du Développement social, le Colonel-major Assa Badiallo Touré, en présence du ministre du Tra.
La Caisse nationale d'assurance maladie (Canam) poursuit ses missions avec détermination dans un contexte de réformes structurelles, d’amélioration du cadre règlementaire et de modernisation des systèmes d’information..
La Direction générale du Commerce, de la Consommation et de la Concurrence (DGCC) a annoncé ce jeudi 20 novembre sur sa page facebook la saisie d'une mini-citerne d’essence. Les personnes impliquées dans cette affaire ont été mises sous mandat de dépôt.
Au cours des travaux, les membres du comité ont abordé plusieurs sujets comme la situation sécuritaire de la région à travers une panoplie de thématiques, entre autres, les incivilités, la délinquance et les crimes, la tenue de manifestations publiques et leur encadrement, l’état sécuri.