Cette Conférence est l’une des instances de l’Organisation du monde islamique pour l’éducation, les sciences et la culture (Icesco), une agence d’exécution de l’Organisation de la Coopération islamique (OCI). Rappelons que le Mali a adhéré à l’Icesco en 1982 et a participé activement aux réunions de la Conférence des ministres de la culture dans le monde islamique.
Le ministre Daffé a, au nom du Président de la Transition, Chef de l’État, le Général d’Armée Assimi Goïta, remercié Sa Majesté, le Roi d’Arabie Saoudite, Salmane Ben Abdelaziz Al Saoud, pour l’aimable invitation. À cette occasion, il a eu à prononcer un discours sur le thème de cette 13è Session, à savoir «l’Impact de la Culture sur le développement socioéconomique».
En marge de cette Conférence, s’est également tenue une rencontre des ministres chargés de la Culture de la Confédération des États du Sahel (AES). Le ministre Daffé a eu un carnet d’audience chargé. Il a effectué des rencontres bilatérales avec ses homologues, notamment le ministre de la Culture de la République arabe d’Égypte, Ines AbdeL-Dayem, le ministre de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication du Royaume du Maroc, Mohamed Mehdi Bensaid.
Ces rencontres ont porté sur des échanges culturels et la promotion de la culture avec ces différents pays, la place et le rôle de la culture dans le renforcement de la réconciliation, du vivre-ensemble et de la cohésion sociale, gage de paix et de développement durable, et dans le développement socio-économique.
CCOM-MACIHT
Rédaction Lessor
La rencontre de Bamako va permettre de mettre en place les organes dirigeants de la BCID-AES, valider les textes fondateurs tout en veillant à la disponibilité des moyens techniques, financiers, juridiques et humains nécessaires à son développement.
À la place des statues des explorateurs et des gouverneurs du Soudan français, se trouvent désormais celles des résistants à la pénétration coloniale et des figures emblématiques de notre Armée.
Il est bien loin ce temps où Radio Mali et L’Essor mobilisaient seuls tous les sens des citoyens maliens et façonnaient l’opinion. Jusqu’en 1983, lorsqu’ils furent rejoints par la télévision nationale. La nouvelle venue ne faisait qu’agrandir la famille des «médias publics»..
Dans un environnement informationnel en constante mutation, démêler le vrai du faux est devenu un enjeu majeur. Et ce combat contre la désinformation nécessite obligatoirement le respect des principes du journalisme..
Les médias traditionnels ou classiques prennent le temps de recouper l’information avant de la diffuser. Tel n’est pas forcément le cas des nouveaux acteurs du métier appelés «vidéoman» qui, à la recherche de buzz et de sensation forte pour se faire plus d’audience, tombent facilement .
Dans les lignes qui suivent, nos deux interlocuteurs se sont prononcés sur les rôles de l’Essor et de l’ORTM dans l’ancrage institutionnel de notre pays, leur adaptation à l’évolution numérique, les défis et la contre-attaque dans le cadre de la guerre informationnelle.