
À son arrivée, il a été accueilli par une forte communauté malienne, burkinabè et nigérienne massée devant son hôtel. Munie des drapeaux du Mali et de l'AES, la foule scandait : Mali, Mali, AES, AES... comme pour souhaiter la bienvenue à la délégation du Premier ministre.
Le Chef du gouvernement portera la voix du Mali en présentant la vision du Chef de l’État, le Général d’armée Assimi Goïta, en matière de développement à la communauté financière internationale. Vision qui est traduite dans deux documents stratégiques de référence : la Vision Mali kura 2063 et la Stratégie nationale pour l'émergence et le développement durable (SNEDD 2024-2033).
Le Général de division Abdoulaye Maïga est à la tête d'une forte délégation comprenant des membres du gouvernement dont les ministres de l’Économie et des Finances, Alousséni Sanou, des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Abdoulaye Diop, et des conseillers spéciaux de la Présidence et de la Primature. Environ 70 Chefs d'État et de gouvernement sont attendus à ce sommet qui mobilise décideurs, experts, chercheurs et chefs d'entreprise du monde.
Envoyé spécial
Cheick Moctar TRAORE
Avec un total bilan estimé à 1.712,062 milliards de Fcfa, la BMS a enregistré des dépôts évalués à 791,429 milliards de Fcfa et un montant total de crédit ayant atteint 943,599 milliards de Fcfa.
Procédant à la clôture des travaux à Séville, le Chef du gouvernement espagnol, Pedro Sánchez, s’est réjoui de l’adoption de «L’Engagement de Séville».
L’annonce a été faite par le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Abdoulaye Diop, à l’issue de son audience avec son homologue espagnol, José Manuel Albares Buen, hier à Séville en Espagne.
En matière de gouvernance publique, la disponibilité de données, d’analyses et de bonnes pratiques est essentielle pour prendre des décisions à même d’impacter positivement le quotidien des populations..
La problématique a été débattue hier par décideurs, patrons d’institutions de financement et experts… Ils conviennent tous de l’urgence de réformer l’architecture de la dette souveraine et de la suspension du service de dette en cas de crise.
Sans la sécurité et la stabilité, aucun objectif de développement ne pourrait être atteint. C’est pourquoi, les pays de la Confédération des États du Sahel (AES) consacrent le 1/4 de leur budget à cette question. C’est le message que leurs ministres des Affaires étrangères ont fait pa.