
Elle a permis l’interpellation d’une femme suspectée de détention illégale d’armes à feu de fabrication artisanale. Selon nos informations, l’interppellation de cette dame que nous dsignerons par ses initiales BK, une treténaire, fait suite à un travail d’enquête approfondie menée par les éléments de la brigade de recherches (BR) dudit commissarait de police.
La suspecte a été appréhendée à Baguinéda, localité située à la sortie sud-est de la capitale sur la route de Ségou. Elle avait en sa posséssion six (6) armes à feu de fabrication artisanale de type automatique. Conduite au commissarait de police, elle a été soumise à un intérrogatoire au terme duquel, elle a tenté de donner des explications à son forfait. S’il faut croire la mise en cause, les armes appartiendraient à son défunt ex-mari.
Pour convaincre les limiers de sa bonne foi et de la véracité de ses propos, elle a expliqué qu’elle cherchait même à s’en débarasser. Cependant, le nombre relativement élevé des armes était suffisant pour éveiller le soupçon des policiers qui n’excluent pas d’ailleurs un lien avec des actes criminels du genre braquages à main armée ou cambriolages.
Lan mise en cause a été placée sous mandat de dépôt, et l’enquête se poursuit pour identifier d’éventuels complices ou ramifications criminelles. Cette action, faut-il le rappeler, s’inscrit dans le cadre de la lutte contre l’insécurité sous toute ses formes, initiée par le commissaire principal de police Modibo K. Diarra et de son adjoint, le commissaire Youssouf Coulibaly.
Les deux officiers de police ont vivement salué l’engagemnt de leurs éléments contre l’insécurité dans leur secteur, et ont appelé la population à rédoubler de vigilence et à collaborer avec la police pour sgnaler tout comportement suspect aux autorités compétentes.
Tamba CAMARA
«Il faut tout un village pour éduquer un enfant », dit une maxime bien connue chez nous. D’où toute l’importance de l’implication de toute la communauté dans l’éducation de l’enfant. à commencer par sa famille, le voisinage, le quartier, voire tout le village..
A seulement 25 ans, celui que nous désignerons par ses initiales S.D risque de passer plusieurs années derrière les barreaux, s’il est reconnu coupable du crime d’assassinat dont il est fortement suspecté..
Le commissariat de police de Sabalibougou a tout récemment mis le grappin sur une bande de malfrats spécialistes du vol et braquage à main armée. Au nombre de sept individus, ces malfrats qui ne juraient que par les engins à deux roues ont longtemps troublé la quiétude des populations de cert.
Les témoins de cet homicide volontaire garderont longtemps en mémoire ce jour où des malfrats ont abattu de sang-froid un jeune homme qui tentait de les arrêter après un vol spectaculaire. Cela s’est passé à Kalabancoro, quartier populaire à la périphérie de Bamako..
Les hommes du commissaire principal de police Moustapha Kanté du commissariat de Kéniéba viennent de se faire entendre à nouveau avec l’interpellation de deux individus suspectés être des trafiquants de produits stupéfiants..
L’opération « Kokadjè » initiée depuis quelques temps par le Directeur régional de la police de Kayes, le contrôleur principal Tapa Oury Diallo, vise à assainir la Cité des rails et ses environs en les débarrassant des bandits de tout acabit. Incontestablement, cela a pour avantages de .