Nos compatriotes multiplient les réflexions pour riposter aux sanctions économiques et financières infligées à notre pays par la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao) et l’Union économique et monétaire ouest africaine (Uemoa). Dans cette démarche, le Panel des hautes personnalités des Assises nationales de la refondation (ANR) conduit par son président Zeïni Moulaye, a remis, vendredi dernier, au président de la Transition, le colonel Assimi Goïta, un document contenant des recommandations visant à sortir de cette crise. C’était à la faveur d’une audience tenue au palais de Koulouba.
Les analyses, contenues dans ce document, sont les résultats d’un groupe de réflexion mis en place par le Panel pour contribuer à la stratégie nationale de riposte aux décisions de la Cedeao et de l’Uemoa. Il s’agit des analyses juridiques, économiques et financières des décisions adoptées par ces deux organisations sous-régionales.
À sa sortie d’audience, Zeïni Moulaye a confié à la presse que le Panel ne pouvait pas rester insensible face aux sanctions de la Cedeao et de l’Uemoa contre le Mali. Des décisions que le Panel considère “comme une véritable agression de la part d’organisations dont nous attendons plutôt de la solidarité et non des sanctions”.
Selon le président du Panel des hautes personnalités des ANR, ce document comporte non seulement des analyses juridiques, économiques et financières des décisions de la Cedeao et de l’Uemoa, mais aussi de “fortes recommandations pour nous permettre de sortir de cette crise”. Il contient également un survol historique, une contextualisation historique, pour une meilleure compréhension de la situation actuelle à partir du passé et envisager les ripostes pour l’avenir. Aux autorités maliennes ainsi qu’aux deux organisations sous-regionales, des recommandations sont faites pour une sortie rapide de crise.
Mohamed DIAWARA
Les chefs de quartier et les services de police sont les premiers contacts des parents dans les situations d’égarement des enfants. Il ne vient à l’esprit de personne (en tout cas très peu de gens le font) de requérir l’appui des services locaux de promotion de la femme, de l’enfant et d.
La vérité des chiffres est implacable. Le paludisme représente au Mali la première cause de morbidité, soit 37,7%. Les établissements de santé dans notre pays ont recensé en 2023, un peu plus de 3,3 millions de cas de paludisme pour 1.191 décès.
Le Mali enregistre des avancées en termes d’élimination du paludisme à l’horizon 2030. La découverte des premiers vaccins (RTSS et R21) contre cette maladie endémique vient renforcer ces acquis. Notre pays est en train de tout mettre en œuvre pour que ces antigènes soient disponibles et .
Les jeunes diplômés espèrent aujourd’hui, en tout cas pour la plupart, être recrutés à la Fonction publique de l’état au détriment de l’entrepreunariat jeune. Cet état de fait résulte du taux d’échec dans ce domaine, expliquent certains. Ceux-ci invitent aussi les autorités .
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Le Syndicat national des banques, assurances, microfinances, établissements financiers, entreprises pétrolières et commerces du Mali (Synabef) a suspendu son mot d'ordre de grève..