
Les membres du
comité ont à cœur l’opérationnalisation effective de ce service
Tels étaient les
objectifs de cette 3è session du Comité de certification et de signature
électronique, tenue hier dans la salle de conférence du ministère de la
Communication, de l’Économie numérique et de la Modernisation de l’Administration.
Faut-il rappeler que lors de leur dernière session, les membres de cet organe
délibérant du Service de certification et de signature électronique ont
unanimement validé le changement de statut en Agence nationale de certification
électronique. À cet effet, plusieurs documents ont été produits, à savoir le
projet de rapport de présentation du service et le projet de loi portant
création de l’Agence et ses modalités de fonctionnement.
Les membres du comité ont à
cœur l’opérationnalisation effective de ce service. Son opérationnalisation,
selon le secrétaire général du ministère de tutelle, va dématérialiser
totalement toutes les procédures administratives et permettre d’avoir des
services en lignes sécurisés et ainsi faciliter l’accès des citoyens à ces
services partout sur le territoire national et à l’extérieur. Alkaidi Amar
Touré ajoutera que ce service est une opportunité à saisir pour atteindre notre
vision qui est de voir le Mali classé parmi les premiers pays à la pointe de la
technologie au niveau de la sous-région.
Pour la directrice du SCSE,
Mme Fanta Coumba Karembé, la certification et la signature électronique est la
pièce manquante de l’écosystème numérique, donc il faut tout faire pour que ce
service soit opérationnel pour permettre la
transformation digitale de toutes les activités au sein de
l’administration publique.
Selon elle, le grand défi qui s’impose à son service
est la mobilisation des ressources. Par ailleurs, tout est en train d’être mis
en œuvre pour faire avancer le cadre règlementaire et combler tout le vide dans
le secteur, a-t-elle indiqué. Créé par la loi n°2016-012 du 06 mai 2016
relative aux transactions, échanges et services électroniques, le SCSE est une
structure rattachée au secrétariat général du département de la Communication.
Il a débuté ses activités en mars 2020 et dans le cadre de son opérationnalisation, il a bénéficié de l’accompagnement de l’Union internationale des télécommunications à travers son Bureau de développement des télécommunications.
Anne Marie KEITA
Pour la campagne agricole de 2023, l’Office du développement rural de Sélingué (ODRS) prévoit une production céréalière de 86.309, 25 tonnes soit une augmentation par rapport à la campagne précédente et un budget d’environ 1,73 milliard de Fcfa..
Actuellement, le seau de la pâte d’arachide de 10 kg est vendu sur le marché à 15.000 Fcfa et celui de 5 kg coûte 7.500 Fcfa. L’activité fait vivre de nombreuses femmes aussi bien en milieu rural qu’en milieu urbain.
Environ 60 participants : organisations partenaires, services techniques gouvernementaux, universités et collèges d’enseignement agricole, organisations d’agriculteurs et partenaires techniques et financiers ont pris part hier au Forum annuel des parties prenantes organisé par Sasakawa Africa.
Le coût élevé des ingrédients indispensables à l’aliment-volaille, les maladies aviaires à cycle répétitif, la faible organisation des producteurs avicoles et l’insuffisance des capacités techniques sont des difficultés.
Le Mali dispose de 112 forêts classées et périmètres de protection d’une superficie de 1.338.991 ha, soit moins de 1% de la superficie du pays. Ces forêts classées font l’objet d’une exploitation abusive entrainant leur dégradation.
L’exploitation du bois-énergie correspond à l’utilisation du bois de chauffe, du charbon de bois, de l’énergie ligneuse... Cette activité est également une source de revenus pour de nombreux ménages.