Pâques fait partie des plus importantes fêtes chrétiennes. Cette année, elle a été célébrée le 20 avril dans le monde, après 40 jours de Jeûne, de partage et de pardon. Pour les chrétiens, cette fête commémore la mort et la résurrection de Jésus-Christ.
Elle marque l’aboutissement de la semaine sainte qui commence avec le jeudi saint (souvenir du dernier repas de Jésus avec ses apôtres et institution de l’eucharistie), se poursuit avec le vendredi saint (jour de la crucifixion) et s’achève dans la joie de sa résurrection le dimanche de Pâques.
Au Mali, les chrétiens ont respecté la tradition notamment à Kati, à la paroisse notre Dame auxiliatrice où des milliers de fidèles catholiques se sont donné rendez-vous à la place du centenaire pour manifester leur joie à la résurrection du Christ.
Le curé de la paroisse, Paul-Marie Sidibé qui a dirigé la veillée pascale a invité les chrétiens au partage, au pardon et à la réconciliation.
Il est utile de rappeler que pendant la veillée pascale, dans toutes les paroisses au Mali, des catéchumènes reçoivent le baptême, et à Kati plus d’une vingtaine ont été baptisés.
Anne Marie KEITA
La rencontre de Bamako va permettre de mettre en place les organes dirigeants de la BCID-AES, valider les textes fondateurs tout en veillant à la disponibilité des moyens techniques, financiers, juridiques et humains nécessaires à son développement.
À la place des statues des explorateurs et des gouverneurs du Soudan français, se trouvent désormais celles des résistants à la pénétration coloniale et des figures emblématiques de notre Armée.
Il est bien loin ce temps où Radio Mali et L’Essor mobilisaient seuls tous les sens des citoyens maliens et façonnaient l’opinion. Jusqu’en 1983, lorsqu’ils furent rejoints par la télévision nationale. La nouvelle venue ne faisait qu’agrandir la famille des «médias publics»..
Dans un environnement informationnel en constante mutation, démêler le vrai du faux est devenu un enjeu majeur. Et ce combat contre la désinformation nécessite obligatoirement le respect des principes du journalisme..
Les médias traditionnels ou classiques prennent le temps de recouper l’information avant de la diffuser. Tel n’est pas forcément le cas des nouveaux acteurs du métier appelés «vidéoman» qui, à la recherche de buzz et de sensation forte pour se faire plus d’audience, tombent facilement .
Dans les lignes qui suivent, nos deux interlocuteurs se sont prononcés sur les rôles de l’Essor et de l’ORTM dans l’ancrage institutionnel de notre pays, leur adaptation à l’évolution numérique, les défis et la contre-attaque dans le cadre de la guerre informationnelle.