Organisée, vendredi dernier, par l’Institut sahélien pour la démocratie et la gouvernance (Sahel Institute), en partenariat avec l’ambassade des États-Unis au Mali, au siège de l’organisation sis à Faladiè. La rencontre a été une opportunité pour Sahel Institute de
partager ses visions et ses missions avec les participants afin d’atteindre les
objectifs globaux de l’organisation, notamment la consolidation et la promotion
de la gouvernance. Ce, à travers les bonnes pratiques et une démocratie solide,
inclusive et participative, qui favorise l’instauration d’un climat de paix, de
sécurité et du vivre ensemble.
L’événement, qui était présidé par le directeur
exécutif de Sahel Institute, Moussa Kondo, a enregistré la présence de l’attachée
culturel de la section des Affaires publiques de l’ambassade des États-Unis
dans notre pays, Mme Erin Sutherland, de l’ancien Premier ministre Moussa Mara,
de plusieurs membres du conseil d’administration de l’institut dont Chahana
Takiou et bien d’’autres invités.
Le directeur exécutif de Sahel Institute a dit constater que
depuis un certain temps, on ne parle du Sahel qu’à travers les difficultés liées
au terrorisme et tout ce qui est problématique. Mais personne ne vous parlera
de solutions et bonnes pratiques qui marchent. «C’est la raison pour laquelle,
nous avons créé cette activité qui est une opportunité de se rencontrer afin de
se connaître, savoir qui fait quoi, comment, où et avec qui. Comprendre quels
sont les réussites et les échecs», a expliqué Moussa Kondo. Pour lui, cette
activité de «networking» permet d’’inspirer les autres, et de les encourager
car le courage est contagieux.
L’ancien Premier ministre, Moussa Mara a fortement salué
l’initiative de Sahel Institute qui mérite d’être encouragée et soutenue. Car,
au-delà de tout ce qui est difficulté dans le Sahel, il se passe et se passera
toujours des choses positives et formidables qui sont généralement accomplies
par des jeunes (entrepreneurs, bloggeurs, société civile...) qui, malgré les
difficultés, se battent au quotidien pour faire bouger les choses, a souligné
le responsable politique.
Pour sa part, Mme Erin Sutherland a rappelé que l’ambassade
des États-Unis investit chaque année plusieurs millions de dollars dans le
cadre des partenariats avec le Mali dans les domaines de la Santé, de l’éducation
et du développement économique. Occasion pour la responsable américaine de
souligner la disponibilité de son pays à accompagner d’autres initiatives spécifiques
notamment le «programme d’échanges» au profit des jeunes maliens qui
constituent l’avenir.
La rencontre a été marquée par une série de témoignages d’anciens bénéficiaires des programmes et projets de Sahel Institute avec l’appui de l’ambassade des États-Unis, notamment dans les domaines de la formation et de l’entreprenariat, qui permettent chaque année à plusieurs jeunes maliens de participer à des activités de voyages en Amérique.
Aboubacar TRAORE
Le ministère des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, en partenariat avec l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (Unesco), a organisé, hier à l’École de maintien de la paix Alioune Blondin Bèye (EMP-ABB), un atelier de consultat.
Le Projet de promotion de l’accès au financement, de l’entrepreneuriat et de l’emploi au Mali (Pafeem) a organisé hier, dans un hôtel de la capitale, une session de formation des agents de la direction de la microfinance sur l’outil Cameli..
Cette réunion technique vise à préparer les documents à soumettre aux ministres, qui devront consacrer l’acte constitutif de la banque avant sa transmission aux Chefs d’État pour validation finale.
Le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme sont des menaces graves pour la stabilité financière mondiale et la sécurité internationale. Dans ce décryptage, le magistrat Yaya Traoré, membre de la Cellule nationale de traitement des informations financières (Centif), parle des .
Le projet de budget prévisionnel 2026 de l’Agence nationale pour l’emploi (ANPE) s’élève en ressources et en emplois à la somme d’environ 8,20 milliards de Fcfa, contre 8,94 milliards de Fcfa en 2025, soit une baisse de 8,28%..
La ministre de l’Entrepreneuriat national, de l’Emploi et de la Formation professionnelle, Mme Oumou Sall Seck, a présidé hier la cérémonie d’ouverture de l’atelier de partage et d’appropriation des textes régissant l’emploi et la formation professionnelle. Ces travaux, qui dureront.
