En effet, le conflit opposant le Hezbollah, parti politique et un groupe paramilitaire chiite, à Israël a engendré une crise humanitaire préoccupante notamment au Liban. Dans les villes ciblées, les civils fuient les bombardements israéliens. L'Organisation des Nations unies (ONU) estime qu’environ un million de personnes ont été déplacées depuis octobre dernier. Parmi eux des migrants.
Le chargé des affaires sociales et des questions migratoires au secrétariat exécutif du HCME a assuré que deux de nos compatriotes qui étaient dans la zone de conflit ont rejoint les autres Maliens dans la zone calme. Ces informations, précise Mamadou Lamine Bane, ont été données par leur Bureau de Beyrouth. Pour le moment, poursuit-il, aucun des 20 Maliens recensés, âgés majoritairement de 18 à 55 ans, n'est impacté par cette crise.
À la date d'aujourd'hui, indique Mamadou Lamine Bane, ces expatriés n'ont pas encore exprimé un besoin de retour assisté. Il assure que le secrétariat exécutif du HCME suit l'évolution de la situation.
Sur son compte X, l'ONU a cité le chef du bureau de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), Mathieu Luciano. Ce dernier a déclaré que plus de 165.000 travailleurs migrants sont dans 800 abris collectifs à travers le pays. Il s’agit d’écoles que le gouvernement a ouvertes d’urgence. Et d'avouer que les chiffres continuent d’augmenter, alors que les bombardements intensifs se poursuivent au sud, dans la vallée de la Bekaa, à Beyrouth et dans d’autres régions.
Le bureau régional de l'Organisation mondiale de la santé pour la Méditerranée orientale a indiqué sur le réseau social X, que le 4 octobre dernier la guerre a causé au Liban la mort de 1.974 personnes et blessé 9.384 autres. Selon l'organisation onusienne, plus de 340.000 personnes ont quitté leur domicile.
Mohamed DIAWARA
Dans leur lutte continue contre le terrorisme, les Forces armées maliennes (FAMa) ont, une fois de plus, démontré leur détermination en détruisant plusieurs bases ennemies lors d’opérations ciblées menées simultanément dans le sud du pays et dans la Région de Tombouctou..
Dans leur marche vers la souveraineté et l’indépendance totale, les pays membres de la Confédération des états du Sahel (AES) ont officiellement annoncé leur sortie de la Cour pénale internationale (CPI) et la création de la Cour pénale et des droits de l'Homme du Sahel (CPS-DH)..
Outil essentiel de promotion et de financement des projets structurants dans les secteurs stratégiques, la BCID-AES démarrera avec un capital initial de 500 milliards de Fcfa.
L’initiative vise à bâtir un système de santé unifié et solidaire qui permettra d’améliorer la santé des populations par l’harmonisation des politiques, le partage des ressources et la coordination des efforts sanitaires.
Les pays membres de la Confédération des états du Sahel (AES), dans leur marche vers la souveraineté, ont reconnu la nécessité de s’unir autour de médias communautaires pour garantir une diffusion d’informations claires, fiables et adaptées aux aspirations de leurs citoyens. Ainsi, des p.
Outre la Télévision, une radio et une Web TV dédiées à la Confédération AES ont été mises en place pour rehausser la communication institutionnelle et communautaire autour de l’idéal confédéral.