Formation en anglais : IPLAP ouvre ses portes à Kabala

Ce centre de formation répond à une exigence du marché de l’emploi

Publié vendredi 04 février 2022 à 07:29
Formation en anglais : IPLAP ouvre ses portes à Kabala

La liste des instituts de formation dans notre pays s’agrandit avec le nouvel Institut de formation spécialisé en anglais : «Institut privé de langues appliquées performance  (IPLAP)». L’inauguration de l’établissement s’est déroulée à son siège à Kabala. La cérémonie a enregistré la participation de l’ancien recteur d’université et directeur général de l’établissement, Pr Macki Samaké, de l’ancienne ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Mme Siby Ginette  Bellegarde, des responsables des universités et grandes écoles et de nombreux enseignants.

Pr Macki Samaké a expliqué les motivations qui ont sous-tendu la création de ce nouvel institut qui, selon lui, permettra de combler un vide au niveau de la performance de la langue anglaise. Celle-ci demeure aujourd’hui un outil de travail pour tout cadre.


«Après quarante ans d’expérience dans l’enseignement et l’administration scolaire, nous avons décidé de poursuivre notre vocation pour soutenir les jeunes, en créant un cadre spécifique pour apprendre l’anglais», a dit l’ancien recteur. Aujourd’hui, l’anglais est  un élément impératif sur le marché de travail après une formation qualifiante. Notre motivation est de donner accès à une formation en anglais en vue de rendre compétitif sur le marché de l’emploi, nos produits formés. Et de rappeler que la globalisation exige d’être bilingue d’où, la mise en place de cette école.

La particularité de l’institut privé de langues appliquées est le mode d’apprentissage qui se caractérise par 3 éléments principaux à savoir : un  groupe restreint de 12 personnes au maximum, la mise en avant de l’anglais et l’accent à la pratique. 

IPLAP a deux filières de formation pour cette première année; à savoir la langue appliquée aux métiers de l’entrepreneuriat et la langue littérature anglaise. Ces deux filières permettent aux apprenants de se spécialiser en marketing communication ou droit et commerce international. Enfin, le responsable de l’établissement a exprimé sa satisfaction de poursuivre sa vocation d’enseignant après quarante ans d’expérience dans l’enseignement et   l’administration scolaire. Il a tenu à saluer ses partenaires et collègues qui ont soutenu le projet.

Mme Siby Ginette  Bellegarde a expliqué que la  réduction  des frais peut aller jusqu’à 50% en fonction de la mention de l’étudiant. «Nous avons décidé de créer  cet institut pour combler un vide qui s’installait dans la pensée des jeunes, l’apprentissage de l’anglais», a révélé  l’ancienne ministre en charge de l’Enseignement supérieur.

 La création de cet Institut est le fuit d’une collaboration entre anciens responsables de l’enseignement. Pour elle, l’expertise des promoteurs aux compétences avérées permettra d’offrir une formation de qualité aux jeunes. L’idée n’est pas de concurrencer les universités, mais de les accompagner en vue de permettre aux jeunes  de répondre aux défis de la mondialisation comme celui de l’apprentissage de l’anglais aujourd’hui dans le show-biz.

 Les promoteurs ont annoncé que l’institut mettra aussi en place des cours du soir et d’autres modules de formation pour l’apprentissage et la pratique de l’anglais.

Amadou SOW

Lire aussi : Concert de Plusique : Le retour du poète Robert Dissa

Le félibre nous transporte dans un univers de réflexions sur des thématiques sociales comme la mort, le mariage, la bravoure de la femme africaine, l’amour, entre autres.

Lire aussi : Culture et tourisme à Dioïla : Des abeilles et des poissons sacrés à découvrir

La région recèle une manne touristique et culturelle. Beaucoup de sites et monuments y ont été repérés en vue de leur insertion dans la liste du patrimoine national.

Lire aussi : Mme Coulibaly Mariam Coulibaly, gouverneure de la Région de Dioïla : «Quand un homme perd sa culture, il devient esclave de celui dont il consomme la culture»

La gouverneure de la Région de Dioïla, Mme Coulibaly Mariam Coulibaly, figure désormais dans le club très select des femmes qui sont arrivées à crever le plafond de verre dans le corps des administrateurs civils. Elle a une conscience claire de l’Année de la culture, décrétée par le Pré.

Lire aussi : Assurance volontaire pour la culture : Personne ne sera oublié

Cette assurance s’inscrit en droite ligne de la vision du Président de la Transition d’accompagner le secteur de la culture. Elle permettra aux acteurs culturels de bénéficier des prestations Amo et de la pension.

Lire aussi : Festival de Cannes 2025 : Fatou Cissé présente deux films en hommage à son père Souleymane Cissé

«Bon sang ne saurait mentir». L’adage peut s’appliquer aisément à la situation de Fatou Cissé, la fille de l’illustre cinéaste Souleymane Cissé, décédé le 19 février dernier à Bamako, alors qu’il s’apprêtait à présider le jury de la catégorie long-métrage de fiction du Fes.

Lire aussi : Festival Ag’na : Les assurances du ministre Daoud Aly Mohammedine

L’Année de la culture est bien intégrée. En tout cas, les différents départements ministériels sont engagés à accompagner les acteurs de la culture en vue de concrétiser la vision du Chef de l’État, le Général d’armée Assimi Goïta..

Les articles de l'auteur

Concert de Plusique : Le retour du poète Robert Dissa

Le félibre nous transporte dans un univers de réflexions sur des thématiques sociales comme la mort, le mariage, la bravoure de la femme africaine, l’amour, entre autres.

Par Amadou SOW


Publié vendredi 02 mai 2025 à 07:48

Culture et tourisme à Dioïla : Des abeilles et des poissons sacrés à découvrir

La région recèle une manne touristique et culturelle. Beaucoup de sites et monuments y ont été repérés en vue de leur insertion dans la liste du patrimoine national.

Par Amadou SOW


Publié mercredi 30 avril 2025 à 07:45

Mme Coulibaly Mariam Coulibaly, gouverneure de la Région de Dioïla : «Quand un homme perd sa culture, il devient esclave de celui dont il consomme la culture»

La gouverneure de la Région de Dioïla, Mme Coulibaly Mariam Coulibaly, figure désormais dans le club très select des femmes qui sont arrivées à crever le plafond de verre dans le corps des administrateurs civils. Elle a une conscience claire de l’Année de la culture, décrétée par le Président de la Transition, et entend tout mettre en œuvre pour qu’à l’heure du bilan la région n’ait aucun regret. Elle s’est confiée à l’Essor dans les lignes qui suivent.

Par Amadou SOW


Publié vendredi 25 avril 2025 à 07:52

Assurance volontaire pour la culture : Personne ne sera oublié

Cette assurance s’inscrit en droite ligne de la vision du Président de la Transition d’accompagner le secteur de la culture. Elle permettra aux acteurs culturels de bénéficier des prestations Amo et de la pension.

Par Amadou SOW


Publié jeudi 24 avril 2025 à 07:51

Festival de Cannes 2025 : Fatou Cissé présente deux films en hommage à son père Souleymane Cissé

«Bon sang ne saurait mentir». L’adage peut s’appliquer aisément à la situation de Fatou Cissé, la fille de l’illustre cinéaste Souleymane Cissé, décédé le 19 février dernier à Bamako, alors qu’il s’apprêtait à présider le jury de la catégorie long-métrage de fiction du Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (Fespaco)..

Par Amadou SOW


Publié jeudi 17 avril 2025 à 08:32

Festival Ag’na : Les assurances du ministre Daoud Aly Mohammedine

L’Année de la culture est bien intégrée. En tout cas, les différents départements ministériels sont engagés à accompagner les acteurs de la culture en vue de concrétiser la vision du Chef de l’État, le Général d’armée Assimi Goïta..

Par Amadou SOW


Publié mardi 15 avril 2025 à 07:48

Sirandou Dianka : Entre «denbé» et mode

«C’est en forgeant que l’on devient forgeron». Cette maxime peut être appliquée parfaitement à la situation de Sirandou Dianka. Une styliste malienne qui puise son inspiration de son appartenance ethnique. Numu-Den ou «Être numu ou forgeron», un métier artisanal qui fait appel à l’inspiration et à l’ingéniosité. Pour elle, c’est un atout pour percer dans la créativité..

Par Amadou SOW


Publié jeudi 10 avril 2025 à 07:53

L’espace des contributions est réservé aux abonnés.
Abonnez-vous pour accéder à cet espace d’échange et contribuer à la discussion.
S’abonner