Lalla Badi, puisqu’il s’agit d’elle, est décédée hier au Centre hospitalier universitaire Nedir Mohamed de Tizi Ouzou (Algérie). Elle est née certes à Tamanrasset, mais elle est surtout la fille d’un Sahara sans frontières. Décédée à 88 ans, Lalla Badi est comptée parmi les précurseurs du genre musical Tichoumaren, une sorte de blues Touareg dont les thèmes évoquent avec force et tendresse les paysages mythiques du Sahara.
C’est pourquoi, il n’est pas rare d’entendre au Nord du pays que lorsque Lalla Badi chante ou danse, les frontières disparaissent, le désert parle....
Le patrimoine musical malien en général et celui des Touareg en particulier perdent un symbole, une virtuose du Tindi, cet instrument qu’elle joue à la perfection.
Au nom des autorités, le ministre Mamou Daffé a exprimé sa compassion à la famille biologique de l’illustre disparue, à la famille de la culture éprouvée et au public qui l’a connue et aimée.
Autre personnalité à nous quitter, c’est Iyass Ag Ayouba, patriarche de la Communauté Idahasak de Talataye, nous apprend un communiqué signé du chargé de communication du la Communauté. «Le défunt n’était pas seulement le patriarche de la communauté : il était un guide éclairé, un pilier moral, un sage respecté à l’échelle nationale et un symbole vivant de sagesse et de paix», poursuit le communiqué.
Rédaction Lessor
Aujourd’hui dans cet ordre d’enseignement, on utilise des lecteurs d’écran pour permettre aux élèves non-voyants ou handicapés auditifs de communiquer avec les autres. Ce progrès est à saluer, mais de gros défis restent aussi à relever.
Communément appelée keratodermie palmo-plantaire, «seprin et boloprin» en langue «bamanankan», la pathologie est assez répandue pendant la saison froide avec le vent frais qui souffle. C’est surtout l’exposition des extrémités, c’est-à-dire la paume des mains ou la plante des pieds q.
Le Programme de développement de la zone spéciale de transformation agro-industrielle des Régions de Koulikoro et péri-urbaine de Bamako (PDZSTA-KB) a tenu, vendredi dernier, la 6è session de son comité de pilotage dans les locaux du ministère de l’Agriculture. L’ouverture des travaux ét.
Le major de la 47è promotion (2023-2025) de l’Ecole militaire interarmes (Emia) de Koulikoro s’appelle Idrissa Tiama de nationalité malienne. Il s’est classé premier avec une moyenne de 16 /20 devant ses camarades de différentes nationalités. Le fils de Diakaria et de Maïmouna Tiama est .
Les 343 officiers d’active de la 47è promotion de l’École militaire interarmes (Emia) de Koulikoro peuvent être fiers du parcours exemplaire de leur parrain au sein de l’Armée malienne. Feu Général de brigade Pangassy Sangaré, puisqu’il s’agit de lui, nait le 11 juin 1947 à Kati. I.
La promotion 2023-2025 compte 343 élèves officiers d’active dont 311 Maliens et 32 étrangers. Le major de la promotion est le Sous-lieutenant Idrissa Tiama du Mali avec une moyenne de 16/20.