
Le ministre chargé de la Communication avec les participants de la formation
Présidée par le ministre de la Communication, de l’Économie numérique et de la Modernisation de l’Administration, Alhamdou Ag Ilyène, la cérémonie de clôture de cette formation en rédaction administrative, a eu lieu, vendredi dernier dans les locaux du département en charge de la Communication.
Il s’agissait de renforcer la capacité intellectuelle des secrétaires de direction, de leur apprendre à rédiger correctement les documents administratifs. Il était aussi question pour les participants d’apprendre à exprimer leur pensée, développer ou résumer celles des autres, à narrer un événement, analyser une situation et transmettre un message. Il leur a été expliqué que la rédaction administrative est un art particulier, un ensemble des techniques de conception, de formulation et de présentation des documents administratifs dans les formes singulières.
Le ministre de la Communication, de l’Économie numérique et de la Modernisation de l’Administration a apprécié la formation, soutenant qu’on doit toujours se perfectionner en adoptant de nouvelles méthodes de travail. Il s’agira désormais pour les bénéficiaires de rehausser leur niveau de rédaction, de procéder à des nouvelles méthodes de classement de dossiers, mais aussi de maitriser les inventions en termes de technologies de l’information et de la communication (TIC).
Le ministre Alhamdou Ag Ilyène a aussi rappelé que le rôle des secrétaires sera important en cette heure de la digitalisation de l’administration. «Je vous invite à apprendre régulièrement auprès de vos anciens collègues, les plus expérimentés, et d’être toujours discrets en tant que secrétaires», a conseillé le ministre chargé de la Communication.
Le formateur, Sanibé Abel Koné, saluera une participation active des bénéficiaires qui, selon lui, ont donné le meilleur d’eux-mêmes. Avant de les encourager à faire davantage de lecture et à pratiquer les connaissances apprises.
Faut-il également rappeler que la formation a concerné la lettre, les rapports, les comptes rendus, les notes techniques et sans pouvoir rentrer dans les profondeurs compte tenu du temps imparti. C’est pourquoi, les participants ont souhaité la pérennisation de cette formation afin de rehausser leur niveau.
Françoise Sidibé, porte-parole des participants a déploré le manque de formations continues au bénéfice des secrétaires lesquels devraient résoudre leurs lacunes. Elle a souligné qu’avec les Tic, les secrétaires ont besoin de se former davantage pour satisfaire à tous les besoins de service et des usagers.
Enfin, elle a demandé au ministère en charge de la Communication de penser à faire beaucoup de formations pour que les secrétaires puissent répondre aux ententes.
Aminata SOUMAH
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