
Son but est de développer une approche multi-acteurs durable de consolidation de la paix, appropriée par les communautés à la base, le sommet et aussi de faire valoir son potentiel au niveau national et international. Un atelier s’est tenu, hier à la Maison de la femme, de l’enfant et de la famille de Sabalibougou (Commune V), sur les activités de restitution des films réalisés dans le cadre de ce projet. La cérémonie a enregistré la présence du président du conseil d’administration de l’Imrap, Djibril Diallo, et plusieurs invités.
L’objectif
de la rencontre était de présenter les résultats des activités du projet dans
les différentes localités concernées, notamment les six films (des courts métrages)
qui ont été réalisés sur le processus national qui reflète les insuffisances,
les tares des méthodes de consolidation de la paix mises en œuvre et les
possibilités d’amélioration.
À
travers ce projet, il s’agissait de voir comment permettre aux populations
elles-mêmes au détour de méthodologie adaptée, d’analyser leurs propres problèmes
afin d’y trouver des solutions consensuelles, endogènes et durables. Les
localités concernées par le projet sont Kangaba, Kayes, Kita, Mopti et Bamako.
Pour le président du conseil d’administration de l’Imrap, les actions menées par son institut sont loin d’être isolées parce «qu’elles s’insèrent dans l’ensemble des politiques publiques décidées par les autorités de la Transition». Donc, il s’agit de contribuer aux efforts entrepris par les autorités. Et Djibril Diallo de mentionner que lorsque des individus et organisations engagés se réunissent, «nous pouvons favoriser un monde plus inclusif, plus libre et plus pacifique où tous les peuples ont la possibilité de s’épanouir». Il a remercié les autorités qui ont toujours accepté de les accompagner dans les différentes activités.
À titre de rappel, l’Imrap est une association malienne, créée sous le récépissé N°0590/G-DB du 21 mai 2014 par les Maliens engagés dans la réflexion pour la consolidation de la paix. L’Imrap est concentré sur deux grands domaines d’activités, notamment la consolidation de la paix, la lutte contre le travail forcé et la traite des êtres humains, en soutenant des programmes dans les contextes géographiques spécifiques à l’échelle planétaire. Il s’investit aussi dans le journalisme, le plaidoyer, le changement de politique et la communication stratégique pour attirer l’attention, et l’action en faveur des questions de paix.
Djénéba KASSOGUE
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