L'information a été donnée, le même jour, par la Primature sur sa page Facebook. Cette suspension intervient suite à la rencontre tenue dans la soirée de ce vendredi entre le Premier ministre, le Général de division Abdoulaye Maïga, et le Synabef. La délégation syndicale comprenait des représentants des sections du syndicat.
Cette décision intervient suite à l’enclenchement du mot d’ordre de grève le jeudi 17 avril 2025. Les échanges entre les parties ont permis d’enregistrer des avancées notables. Le 1er Secrétaire général adjoint du Synabef, Abdoulaye Keïta, a salué, à cet effet, l’implication du gouvernement de la Transition dans la résolution des points de revendication, confie la Primature.
Au nom du Président de la Transition, le Général d’Armée Assimi Goïta, le Premier ministre a salué l’attitude constructive du syndicat, marquée par la suspension du mot d’ordre de grève, souligne la même source.
Le Général de division Abdoulaye Maïga a assuré que le gouvernement ne ménagera aucun effort pour honorer tous ses engagements. Il a aussi rappelé que le maintien d’un climat social apaisé demeure une priorité pour les autorités.
La rencontre s’est tenue en présence du ministre du Travail, de la Fonction publique et du Dialogue social, Fassoun Coulibaly.
Bembablin DOUMBIA
Le Comité interministériel de gestion des crises et des catastrophes s’est réuni ce mardi 18 novembre à la Primature sous la présidence du Premier ministre, le Général de division Abdoulaye Maïga..
Le Premier ministre, le Général de division Abdoulaye Maïga a effectué ce mardi 18 novembre une visite à l’Office malien des produits pétroliers (Omap), placé sous la tutelle du ministère de l’Économie et des Finances..
Le Centre de santé de référence de Koulikoro (CSref) a été doté d’un kit solaire d’une valeur de 10 millions de Fcfa par le directeur de Orange transit, Bréma Dramé dit Bama, ressortissant de la ville..
Plusieurs localités du pays connaissent la crise du carburant. Mais à Sikasso la situation est relativement appréciable. Actuellement, certaines stations-service de la ville sont opérationnelles..
Des files interminables d’automobilistes et de motocyclistes s’étirent sur des dizaines de mètres. Certains y sont, depuis quelque temps, pour pouvoir s’approvisionner en carburant et vaquer à leurs occupations essentielles.
À Bamako, il existe un peu partout des commerçants et revendeurs clandestins de pesticides. Dans la circulation, dans les boutiques des quartiers et dans les marchés hebdomadaires, ils proposent des produits pouvant combattre les nuisibles sans l’autorisation des structures compétentes et en v.