
Ces derniers sont suspectés de s’être mouillés dans des affaires de vols et de recels de butins. Au cours de la même opération, les policiers ont mis la main sur un important lot d’objets de valeur, composés de sept (07) engins à deux roues, de pièces de rechange pour motos et des téléphones portables. Les éléments ont par la suite coincé et interpellés neuf suspects dont l’âge varie entre 17 et 43 ans. Il s’agit, entre autres des nommés I.C, M.T, B.B alias Papy, H.D, O.B, Z.O, H.S, K.B, et K.S.
Ces malfrats qui évoluaient dans le grand banditisme depuis très longtemps dans la cité du Tata, étaient si bien organisés qu’ils se croyaient imprenables. Les policiers ont dû user de professionnalisme pour mettre fin aux activités lugubres auxquelles ils s’adonnaient depuis belle lurette sans s’inquiéter outre mesure. Outre les techniques policières classiques, la police a sollicité et obtenu l’étroite collaboration des populations, victimes potentielles des malfrats de tout acabit. Le résultat ne se s’est pas fait attendre.
Les éléments aguerris de la brigade de recherche (BR) ont reçu des instructions pour traquer et mettre la main sur ces malfrats dont la dangerosité était connue de tous. Ils usaient de violences et de force pour déposséder leurs victimes de leurs biens. Les enquêtes qui s’en sont suivies ont conduit les éléments de la BR à l’antre des malfaiteurs qui n’auront pas de chance de s’enfuir. Ainsi, les neuf ont été coincés et interpellés sur place, sans la moindre résistance.
La perquisition qui s’en est suivie a permis aux limiers de mettre la main sur les objets cités plus haut ainsi que d’autres plus ou moins valeureux. Les suspects, une fois interpellés, ont été conduits au commissariat de police pour y être auditionnés. Sans chercher à se compliquer la tâche, ils ont tous reconnu les faits à eux reprochés. Quelques jours après leur interpellation, les neuf mis en cause ont été conduits devant le juge et placés sous mandat de dépôt. Le commissariat de police en appelle aux populations pour plus de collaboration en signalant tout comportement suspect dans la ville et ses environs.
Tamba CAMARA
«Il faut tout un village pour éduquer un enfant », dit une maxime bien connue chez nous. D’où toute l’importance de l’implication de toute la communauté dans l’éducation de l’enfant. à commencer par sa famille, le voisinage, le quartier, voire tout le village..
A seulement 25 ans, celui que nous désignerons par ses initiales S.D risque de passer plusieurs années derrière les barreaux, s’il est reconnu coupable du crime d’assassinat dont il est fortement suspecté..
Le commissariat de police de Sabalibougou a tout récemment mis le grappin sur une bande de malfrats spécialistes du vol et braquage à main armée. Au nombre de sept individus, ces malfrats qui ne juraient que par les engins à deux roues ont longtemps troublé la quiétude des populations de cert.
Les témoins de cet homicide volontaire garderont longtemps en mémoire ce jour où des malfrats ont abattu de sang-froid un jeune homme qui tentait de les arrêter après un vol spectaculaire. Cela s’est passé à Kalabancoro, quartier populaire à la périphérie de Bamako..
Les hommes du commissaire principal de police Moustapha Kanté du commissariat de Kéniéba viennent de se faire entendre à nouveau avec l’interpellation de deux individus suspectés être des trafiquants de produits stupéfiants..
L’opération « Kokadjè » initiée depuis quelques temps par le Directeur régional de la police de Kayes, le contrôleur principal Tapa Oury Diallo, vise à assainir la Cité des rails et ses environs en les débarrassant des bandits de tout acabit. Incontestablement, cela a pour avantages de .