
La cérémonie organisée pour la remise
des prix a eu lieu dans la cour de l’Observatoire national des villes (ONAV),
sous la présidence du secrétaire général du ministère de l’Urbanisme, de l’Habitat,
des Domaines, de l’Aménagement du Territoire et de la Population, Amadou Maïga.
C’était en présence du directeur de l’ONAV, Moussa Tamba Diakité.
Le but de cette compétition est
de créer au niveau des collectivités territoriales concernées, une saine
émulation et un réflexe en matière d’assainissement. Les thématiques retenues
pour départager les communes étaient le curage des caniveaux, la libération des
places urbaines et des servitudes de passage, le ramassage des ordures... Au
bout de la compétition, c’est la Commune de Kalaban-coro qui a créé la surprise
en occupant la première place. Elle est suivie par les Communes II et I du
District de Bamako qui se sont classées respectivement deuxième et troisième.
La Commune IV est arrivée troisième ex æquo, suivie par les Communes V (5è) et
III (6è). La Commune VI arrive en dernière position.
«Depuis belle lurette, nos
grandes villes, nos villes moyennes ainsi que nos petites villes sont
confrontées à un problème d’assainissement, de mobilités urbaine et de
violation des places urbaines…», a rappelé le directeur de l’Onav. Une
situation qui s’exacerbe pendant l’hivernage, détériore le cadre de vie des
populations. Le cas de Bamako se passe de tout commentaire, a fait remarquer
Moussa Tamba Diakité qui a invité les acteurs intervenant dans le secteur à une
synergie d’actions contre le phénomène de l’insalubrité.
Au nombre de ces
acteurs, il a cité l’État à travers ses services techniques, la collectivité du
District, les populations et la société civile. «L’Onav dont la mission est
d’entreprendre des études et des recherches dans le domaine du développement
urbain durable, en vue de la maîtrise de la croissance harmonieuse des villes,
ne compte pas rester en marge de ce combat», a-t-il assuré.
Selon le secrétaire général, la
problématique de l’assainissement de nos villes d’une manière générale et
spécifiquement de la ville de Bamako, vitrine du pays, a toujours été un sujet
de préoccupation majeure pour les autorités du pays. Cette situation se
caractérise par une insalubrité sans précèdent de la ville de Bamako. «Ce
phénomène doit être circonscrit de façon durable et dans les meilleurs délais
afin de retrouver son lustre d’antan», a insisté Amadou Maïga. De son point de vue, l’objectif
du concours est atteint selon les différents rapports des équipes de suivi du
processus.
Fatoumata KAMISSOKO
Rédaction Lessor
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