Le directeur général, Alassane Touré (g) et le PCA, Sidi Dagnoko
Il s’agira de consolider les plans et projets de formation les plus pertinents et justifiés dans le champ des priorités du développement socio-économique local et des besoins des entreprises, associations et groupements professionnels. C’est ce qui ressort de la 37è session ordinaire du conseil d’administration du Fonds, tenue hier dans ses locaux. L’ouverture des travaux a été présidée par le Président du conseil d’administration (PCA), Sidi Dagnoko, en présence du Directeur général (DG) de la structure, Alassane Touré.
Au cours de cette session, les administrateurs ont examiné et adopté les comptes rendus, relevés de décisions et recommandations de la 26è session extraordinaire, des 35è et 36è sessions ordinaires du conseil d’administration. Ils ont également adopté l’état d’exécution des recommandations issues de ces sessions. Sans oublier de valider les rapports d’exécution technique et financière au 31 décembre 2024 et le programme d’activités 2025.
Selon le DG du Fafpa, les différentes activités programmées s’inscrivent dans le cadre du renforcement institutionnel, de la mise en œuvre des politiques publiques en matière d’apprentissage et de formation professionnelle. Alassane Touré précisera que le programme d’activités au titre de l’exercice 2025 se décline en six grands axes d’intervention ciblant le secteur moderne, le secteur non structuré, l’ingénierie de formation, la gestion des projets et programmes, la communication et la gestion administrative et financière.
Le DG a expliqué que les activités en direction du secteur moderne concernent le financement de 98 plans et projets de formation pour un coût de 588 millions de Fcfa. Celles en direction du secteur non structuré concernent le financement de 147 projets de formation d’un coût estimé à 445 millions de Fcfa. Leur réalisation, a-t-il estimé, contribuera à améliorer les compétences du personnel et assurer la qualification professionnelle et l’employabilité des actifs relevant des microentreprises du monde rural, de l’artisanat et du tertiaire. Aussi, ces activités prendront-elles en compte le développement des compétences des apprentis, permettant l’employabilité dans les domaines de l’artisanat (apprentissage traditionnel, alternance/dual).
S’agissant des activités d’ingénierie de formation, Alassane Touré détaillera qu’elles sont relatives à la prospection et la consolidation des plans/projets de formation, le renforcement des offres de formation, la conception d’une base de données, le suivi évaluation (déplacements, mission à l’intérieur), la planification des activités annuelles.
Mais également la révision des outils techniques, de tenue d’ateliers techniques et thématiques, et d’assistance au dispositif de formation par apprentissage de type dual. Le coût de ces activités est estimé à 160 millions de Fcfa.
Les activités de gestion des projets et programmes, quant à elles, s’inscrivent dans le cadre de la mise en œuvre de l’Accord de coopération Mali-Tunisie et de la relance de l’Accord de coopération Mali-Maroc, relatifs au suivi et à la prise en charge de compléments de bourses des stagiaires.
Le coût est estimé à 76 millions de Fcfa. Et les activités de communication et de promotion concourent à renforcer la visibilité du FAPFA et au renforcement de ses outils de communication pour un coût évalué à 85 millions de Fcfa. Enfin, les activités de gestion administrative et financière sont relatives à l’amélioration de la qualité des ressources humaines de la structure, à la bonne exécution de son budget et à l’acquisition de moyens logistiques.
À ce propos, le DG Alassane Touré a expliqué que dans le cadre du renforcement institutionnel et de la crédibilité de son service, les activités envisagées sont l’adoption définitive du manuel de procédures administratives, comptables et financières. À cela s’ajoute la poursuite du plaidoyer sur la recherche de sources de financement pérennes permettant au Fafpa de mener à bien sa mission.
Fatoumata KAMISSOKO
Rédaction Lessor
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