Cette rencontre de sensibilisation et d’information a été organisée avec le soutien de l’alliance Amata Mali Gnèta
Étaient présent les administrateurs civils, les élus locaux, les leaders religieux, les femmes, les jeunes, les Forces de défense et de sécurité, les directeurs régionaux, la Cafo, les femmes rurales et les médias. Cette rencontre de sensibilisation et d’information a été organisée par les autorités régionales de la localité avec le soutien de l’alliance Amata Mali Gnèta. À cette occasion, le maire de Kaladougou a invité les participants à accorder une attention particulière au sujet qui relève de la vie de la nation. Le conférencier du jour, le Pr Nouhoun Diarra a, dans son exposé sur le sujet, laissé entendre que le patriotisme doit être largement cultivé chez tout un chacun afin de comprendre leur rôle dans la construction d’une nation.
«Il n’y a pas de nation forte sans un peuple engagé derrière ses dirigeants. Beaucoup d’efforts ont été faits du sommet de l’État jusqu’aux populations afin de permettre au Mali de se hisser dans le lot des pays émergents», a-t-il conclu. Au terme de son exposé, les intervenants ont tous insisté sur le bien- fondé de ces nouvelles mesures qui n’ont d’autres buts que d’assurer au peuple malien sa souveraineté sur tous les plans en évitant de tendre la main. Les participants à la rencontre se sont dits largement édifiés et ont promis de faire une bonne restitution à la base.
Le président de l’alliance Amata Mali Gnèta, Badra Aliou Sangaré a, dans son intervention, évoqué tous les efforts déployés et les sacrifices consentis par le Président de la Transition, le Général d’armée Assimi Goita à travers ses œuvres sociales. Il a soutenu que le Premier ministre, ministre de l’Administration territoriale et de la Décentralisation a également emboîté le pas au Chef de l’État, en renonçant à une partie de ses fonds. Badra Aliou a fait comprendre que l’indépendance économique de notre pays est liée à notre niveau de patriotisme.
Avant de déclarer que «le départ des soit disant partenaires a été salué par tous et le constat après leur départ est que le pays se stabilise ; alors ne trahissons pas la confiance des dirigeants maliens», a-t-il conclu. Le procureur de Dioïla, Sarafilou Coulibaly, a fait savoir qu’au regard des années passées, la contribution des populations pour assurer l’indépendance d’une nation ne devrait pas poser de problème pour les bons patriotes. «Après la prise en main de notre destin, tous les Maliens doivent s’armer de l’esprit de sacrifice et de patriotisme.
Ces prélèvements sur les télécommunications et retraits mobiles contribuent à soutenir l’État malien dans sa dynamique de préserver l’honneur et la dignité du Mali aux yeux du monde», a signalé le procureur. La cheffe de l’exécutif régional a, pour sa part, expliqué aux participants le bien fondé du paiement de ces taxes qui n’est pas seulement propre au Mali. «Toutes les grandes nations développées sont passées par là», a-t-elle soutenu. Mme Mariam Coulibaly d’ajouter que la prise de notre destin en main nous oblige à être les artisans de notre propre développement et refuser la dépendance économique «qui fait de nous des esclaves».
Daniel FOMBA
Amap-Dioïla
Rédaction Lessor
Aujourd’hui dans cet ordre d’enseignement, on utilise des lecteurs d’écran pour permettre aux élèves non-voyants ou handicapés auditifs de communiquer avec les autres. Ce progrès est à saluer, mais de gros défis restent aussi à relever.
Communément appelée keratodermie palmo-plantaire, «seprin et boloprin» en langue «bamanankan», la pathologie est assez répandue pendant la saison froide avec le vent frais qui souffle. C’est surtout l’exposition des extrémités, c’est-à-dire la paume des mains ou la plante des pieds q.
Le Programme de développement de la zone spéciale de transformation agro-industrielle des Régions de Koulikoro et péri-urbaine de Bamako (PDZSTA-KB) a tenu, vendredi dernier, la 6è session de son comité de pilotage dans les locaux du ministère de l’Agriculture. L’ouverture des travaux ét.
Le major de la 47è promotion (2023-2025) de l’Ecole militaire interarmes (Emia) de Koulikoro s’appelle Idrissa Tiama de nationalité malienne. Il s’est classé premier avec une moyenne de 16 /20 devant ses camarades de différentes nationalités. Le fils de Diakaria et de Maïmouna Tiama est .
Les 343 officiers d’active de la 47è promotion de l’École militaire interarmes (Emia) de Koulikoro peuvent être fiers du parcours exemplaire de leur parrain au sein de l’Armée malienne. Feu Général de brigade Pangassy Sangaré, puisqu’il s’agit de lui, nait le 11 juin 1947 à Kati. I.
La promotion 2023-2025 compte 343 élèves officiers d’active dont 311 Maliens et 32 étrangers. Le major de la promotion est le Sous-lieutenant Idrissa Tiama du Mali avec une moyenne de 16/20.