La journée du vendredi 1er novembre a vu le lancement national du vaccin contre le cancer de col de l’utérus qui désormais fait partie intégrante du programme élargi de vaccination (PEV) au Mali.
La 1ère dose a été inoculée à Hawa Dicko au Centre de santé communautaire de Boulkassoumbougou I par la ministre de la Santé et du Développement Social, le médecin Colonel Assa Badiallo Touré, elle-même médecin.
Au département en charge de la santé, on affirme que l’introduction du vaccin se fera de façon simultanée sur toute l’étendue du territoire national et concernera les filles de 10 ans scolarisées ou non soit 267 942 filles pour l’année 2024. «Elles recevront chacune une seule dose qui leur permettra une protection efficace», assure le réseau de communication du ministère sur sa plateforme numérique.
Au département, on indique que toutes les stratégies (fixes, avancées, mobiles et novatrices) seront mises à profit pour atteindre les communautés fragiles, mal desservies et vivant dans les zones d’insécurité. Il faut dire que le coup de cette introduction du vaccin contre le cancer de l’utérus est 468 millions de FCFA.
Oumar SANKARE
La rencontre de Bamako va permettre de mettre en place les organes dirigeants de la BCID-AES, valider les textes fondateurs tout en veillant à la disponibilité des moyens techniques, financiers, juridiques et humains nécessaires à son développement.
À la place des statues des explorateurs et des gouverneurs du Soudan français, se trouvent désormais celles des résistants à la pénétration coloniale et des figures emblématiques de notre Armée.
Il est bien loin ce temps où Radio Mali et L’Essor mobilisaient seuls tous les sens des citoyens maliens et façonnaient l’opinion. Jusqu’en 1983, lorsqu’ils furent rejoints par la télévision nationale. La nouvelle venue ne faisait qu’agrandir la famille des «médias publics»..
Dans un environnement informationnel en constante mutation, démêler le vrai du faux est devenu un enjeu majeur. Et ce combat contre la désinformation nécessite obligatoirement le respect des principes du journalisme..
Les médias traditionnels ou classiques prennent le temps de recouper l’information avant de la diffuser. Tel n’est pas forcément le cas des nouveaux acteurs du métier appelés «vidéoman» qui, à la recherche de buzz et de sensation forte pour se faire plus d’audience, tombent facilement .
Dans les lignes qui suivent, nos deux interlocuteurs se sont prononcés sur les rôles de l’Essor et de l’ORTM dans l’ancrage institutionnel de notre pays, leur adaptation à l’évolution numérique, les défis et la contre-attaque dans le cadre de la guerre informationnelle.