La journée du vendredi 1er novembre a vu le lancement national du vaccin contre le cancer de col de l’utérus qui désormais fait partie intégrante du programme élargi de vaccination (PEV) au Mali.
La 1ère dose a été inoculée à Hawa Dicko au Centre de santé communautaire de Boulkassoumbougou I par la ministre de la Santé et du Développement Social, le médecin Colonel Assa Badiallo Touré, elle-même médecin.
Au département en charge de la santé, on affirme que l’introduction du vaccin se fera de façon simultanée sur toute l’étendue du territoire national et concernera les filles de 10 ans scolarisées ou non soit 267 942 filles pour l’année 2024. «Elles recevront chacune une seule dose qui leur permettra une protection efficace», assure le réseau de communication du ministère sur sa plateforme numérique.
Au département, on indique que toutes les stratégies (fixes, avancées, mobiles et novatrices) seront mises à profit pour atteindre les communautés fragiles, mal desservies et vivant dans les zones d’insécurité. Il faut dire que le coup de cette introduction du vaccin contre le cancer de l’utérus est 468 millions de FCFA.
Oumar SANKARE
La ministre de l’Entreprenariat national, de l’Emploi et de la Formation professionnelle a lancé officiellement la rentrée solennelle de la formation professionnelle 2025-2026 dans la salle de réunion du gouvernorat de à Dioïla. P.
L’évènement a tenu toutes ses promesses et s’est imposé comme un rendez-vous stratégique réunissant officiels, industriels et experts militaires de divers horizons autour d’une vision de souveraineté et de sécurité partagée.
L’ambassade de l’État de Palestine au Mali a organisé le samedi 15 novembre, une réception au Mémorial Modibo Keita pour la commémoration du 37è anniversaire de sa déclaration d’indépendance..
«Tout commence par la cavité buccale», selon le Pr Ousseyni Diawara odontostomatoligiste au Centre hospitalo-universitaire centre national d’odontostomalogie (CHU-CNOS)..
Certains malades et autres usagers pointent du doigt les conditions d’accueil dans les établissements hospitaliers de la place. D’autres, à tort ou raison, évoquent une négligence coupable des praticiens hospitaliers.
Il y a 16 ans, Mariam Boubacar Maïga a frôlé la mort dans un accident de la circulation dont elle traîne encore les séquelles. Actuellement journaliste reporter et présentatrice à la chaîne nationale de télévision ORTM 2, elle témoigne pour l’Essor à l’occasion de la Journée mondial.