C’est au lycée public Kalilou Fofana de la localité que le ministre de l’Environnement, de l’Assainissement et du Développement durable, Mamadou Samaké, a donné le coup d’envoi des épreuves. L’Académie d’enseignement de Bougouni. Ainsi, à 08h le ministre a ouvert l’enveloppe de l’épreuve de philosophie de la série Terminale science sociale (TSS) pour annoncer la couleur dans la quête de ce sésame qui ouvre les portes aux études supérieures.
Le ministre chargé
de ‘Environnement a ensuite prodigué des conseils d’encouragement et requis
plus de sérénité des candidats. En ajoutant que les autorités de la Transition
s’inscrivent dans un processus de moralisation
des examens et concours. Il a remercié l’administration régionale, le préfet du
Cercle de Bougouni pour avoir tout mis en ordre pour une organisation qui
réconforte sous la vigilance de nos forces et de sécurité.
Le ministre Mamadou
Samaké a félicité le gouverneur de Bougouni, le général de brigade Ousmane
Wélé, les membres de son cabinet, les cadres de l’éducation à travers le
directeur de l’Académie d’enseignement de Bougouni, Mamadou Sissoko, ainsi que
les parents d’élèves pour tous les efforts consentis pour une année scolaire
apaisée dans le respect du calendrier de tenue des examens. Nous attendons de
bons résultats de la région.
Après ce lancement du, le ministre chargé de l’Environnement, s’est rendu aussi à l’Institut de formation des maîtres (IFM) de Bougouni où se tient aussi l’examen de fin d’année. Il s’agit pour lui de s’enquérir de l’effectivité de la tenue de cet examen des futurs maîtres qui sont 714 à composer dans ce centre d’examen. Partout où il a passé, le ministre a souhaité bonne chance aux candidats.
Baba Harbèr TOURE / AMAP - Bougouni
La rencontre de Bamako va permettre de mettre en place les organes dirigeants de la BCID-AES, valider les textes fondateurs tout en veillant à la disponibilité des moyens techniques, financiers, juridiques et humains nécessaires à son développement.
À la place des statues des explorateurs et des gouverneurs du Soudan français, se trouvent désormais celles des résistants à la pénétration coloniale et des figures emblématiques de notre Armée.
Il est bien loin ce temps où Radio Mali et L’Essor mobilisaient seuls tous les sens des citoyens maliens et façonnaient l’opinion. Jusqu’en 1983, lorsqu’ils furent rejoints par la télévision nationale. La nouvelle venue ne faisait qu’agrandir la famille des «médias publics»..
Dans un environnement informationnel en constante mutation, démêler le vrai du faux est devenu un enjeu majeur. Et ce combat contre la désinformation nécessite obligatoirement le respect des principes du journalisme..
Les médias traditionnels ou classiques prennent le temps de recouper l’information avant de la diffuser. Tel n’est pas forcément le cas des nouveaux acteurs du métier appelés «vidéoman» qui, à la recherche de buzz et de sensation forte pour se faire plus d’audience, tombent facilement .
Dans les lignes qui suivent, nos deux interlocuteurs se sont prononcés sur les rôles de l’Essor et de l’ORTM dans l’ancrage institutionnel de notre pays, leur adaptation à l’évolution numérique, les défis et la contre-attaque dans le cadre de la guerre informationnelle.