
Le Club Dragon rouge compte, une dizaine de salles à Bamako
L’événement était présidé par le père fondateur du Club Dragon rouge, Maître Drissa Diakité, ceinture noire, 4è dan, en présence du président de la Ligue de kung fu wushu du District de Bamako, Maître Bakary Dramé, ceinture noire, 4è dan et du président d’honneur du club, Fousseyni Mariko.
Crée en 2008, le Club Dragon rouge compte, aujourd’hui, une dizaine de salles à Bamako, pour un effectif d’environ 700 élèves, dont plusieurs dizaines de ceintures noires. Selon ses responsables, de 2008 à cette année, le club a permis à des centaines de jeunes de pratiquer le kung fu wushu mais aussi de réussir sur le plan socio-professionnel. En effet, au-delà des aspects sanitaires et ceux liés à la discipline, les arts martiaux invitent au courage, à la rigueur, à la détermination, à la persévérance et à l’émulation.
C’est pourquoi, les responsables du club ont exhorté les élèves à observer strictement ces qualités pour, non seulement, leur réussite dans les arts martiaux, mais aussi dans la vie. Par la même occasion, les dirigeants du Club Dragon rouge ont exhorté les parents à inscrire leurs enfants aux arts martiaux pour préserver leur santé, d’une part et d’autre, leur permettre de se défendre et d’aider les autres.
«A part le maniement d’armes à feu, les pratiquants de kung fu wushu ont toutes les qualités d’un bon militaire», a déclaré le fondateur du Club Dragon rouge, Maître Drissa Diakité. Pour sa part, le président de la Ligue de kung fu wushu du District de Bamako a demandé aux autorités d’accompagner le monde des arts martiaux. La cérémonie a été marquée par la remise de nouvelles ceintures noires et d’attestation aux combattants. Auparavant, un hommage avait été rendu au père fondateur du kung fu wushu malien, Maître Cheick Coulibaly dit «Lao Ché».
Bembablin DOUMBIA
Cette décision des juges tient compte des faits, de leur gravité et en considération de la personne de l’inculpé, selon l’universitaire.
La révélation a été faite par le chef de la délégation ivoirienne, Abdoulaye Kouyaté, lors de l’ouverture des travaux des experts en prélude à la tenue de la 4è session de la grande commission mixte de coopération.
Le représentant du chef du gouvernement, Robert Diarra, a remis, lundi dernier à N’tabacoro, une plate-forme multifonctionnelle à l’Association «Siguida Douma d’Att Bougou»..
La question est au cœur d’un séminaire international organisé par l’École de maintien de la paix Alioune Blondin Bèye. L’objectif étant d’approfondir les réflexions sur les mécanismes du dialogue interculturel et interreligieux afin d’actionner les leviers pouvant être mis à cont.
Dans cette interview, l’enseignant chercheur à l’Université des sciences juridiques et politiques de Bamako aborde la question de la laïcité dans le projet de Constitution. Il revient également sur les innovations et les insuffisances contenues dans le texte.
Ce projet couvre dans notre pays les Régions de Bandiagara, Douentza, Gao, Ménaka et Tombouctou pour un financement estimé à 4,5 milliards de Fcfa.