
«
Association de malfaiteurs, braquage à main armée, détention illégale d’arme à
feu ». Ce sont ces accusations auxquelles deux malfrats que nous désignerons
par X et Y vont devoir répondre devant les juges.
Ces individus viennent de tomber dans le filet des éléments du Groupement
anti-terroriste de la police nationale (GAT-PN). Ils ont été interpellés en possession d’engins à deux roues, d’armes
à feu, de munitions et d’armes blanches. Ces bandits étaient spécialiser dans
le braquage à main armée, depuis un
moment, dans le quartier Sotuba et ses environs.
Selon
nos sources, ce duo n’hésitait pas à faire feu pour contraindre leurs victimes
à les laisser leurs objets au risque de prendre une balle à bout portant. Les
deux mettaient tout en œuvre pour la bonne marche de leur entreprise
criminelle. En témoigne le nombre de victimes qu’ils ont faites. Leur
interpellation est intervenue, lors d’une mission nocturne des éléments du
GAT-PN. Une stratégie policière qui permet d’anticiper dans le but de mettre
hors d’état de nuire les déchets sociaux de leur type.
C’était dans la nuit du 09 décembre dernier. Cette nuit-là, les éléments
patrouilleurs avaient investi plusieurs coins et recoins de certains quartiers
qui relèvent de leur autorité, du point de vue sécuritaire. Au terme de
plusieurs heures de chasse, la patience des limiers patrouilleurs a fini par
payer.
Pendant
qu’ils fouillaient les coins et recoins
obscurs des quartiers, comme cela est généralement le cas lors des opérations
policières de ce genre, les éléments antiterroristes sont tombés sur deux
suspects au niveau du 3ème Pont. En ce moment précis, les deux individus,
apparemment louches, étaient dans une posture suspecte, alors qu’ils
possédaient une moto de type « Sanili ». Aussitôt, leur attitude suspecte a
tiqué les policiers. Et leur flair a fait le reste. Ils ont tout de suite
soupçonné un sale coup. Pour en avoir le cœur net, les limiers procédèrent à leur interpellation
pour un contrôle de routine.
Les
patrouilleurs leur ont invité de se garer, mais les deux individus en ont fait
fi et ont préféré engager des tirs avec leurs vis-à-vis. Une course poursuite
s’en est suivie avec des échanges de tirs à la suite desquels, les limiers ont
pris le dessus. C’est ainsi que les vagabonds ont été épinglés, puis conduits
dans les locaux.
À la suite des vérifications, la police a découvert qu’ils étaient impliqués dans de nombreux cas d’attaque à main armée à travers la capitale. Les deux malfrats ont été interpellés en possession d’un pistolet artisanal automatique amélioré et un couteau. Avec ces preuves, ils ont été très rapidement conduits devant les juges pour qu’ils répondent des accusations citées plus haut. Les autorités policières exhortent la population à plus de vigilance et de collaboration afin de lutter contre la criminalité sous toutes ses formes.
Tiedié DOUMBIA
L’Association jeunesse et développement du Mali (AJDM), en partenariat avec la Fondation apprentis d’Auteuil international, a lancé, hier dans ses locaux à Sirakoro, le projet «Groupes d’entraide mutuelle (GEM)»..
Certains individus utilisent les réseaux sociaux à des fins de proxénétisme pour se faire de l’argent. Ils oublient que les policiers veillent au grain et qu’ils sont prêts à envoyer les fautifs croupir au cachot.
Un atelier national sur la mobilisation sociale, engagement et contrôle citoyen se tient, depuis hier dans un hôtel de la place à Banankoro (Région de Koulikoro), à l’initiative de la Direction nationale du développement social (DNDS)..
Certains individus utilisent les réseaux sociaux à des fins de proxénétisme pour se faire de l’argent. Ils oublient que les policiers veillent au grain et qu’ils sont prêts à envoyer les fautifs croupir au cachot.
Il s’était introduit par effraction au domicile d’un particulier pour y dérober une importante somme d’argent. Comme il est facile de dépenser l’argent qu’on n’a pas gagné à la sueur de son front, il se mit à dilapider l’argent volé. Ce changement dans son train de vie attira l.
Le chef de l’antenne de l’Office central de lutte contre les stupéfiants (OCS) de Kita, le lieutenant-colonel, Ousmane Mamadou Sissoko et ses hommes viennent de saisir des médicaments illicites dans cette zone..