
La cérémonie d’ouverture était présidée par le secrétaire général du département des Sports, 3è à partir de la gauche
L’atelier se déroule au stade du 26 Mars et enregistre la participation des directeurs et responsables des infrastructures sportives et des services rattachés du département. Les modules qui seront passés au peigne fin par les participants à l’atelier permettront d’identifier les éléments tangibles sur lesquels il faut bâtir des actions pour asseoir l’amélioration constante de la qualité de la gouvernance des infrastructures sportives du pays.
Dans son allocution d’ouverture, le secrétaire général du ministère en charge de la Jeunesse et des Sports, Amadou Diarra Yalcouyé a d’abord rappelé que les autorités sportives maliennes ont toujours accordé une grande importance à la jeunesse et au sport, avant d’indiquer que de l’indépendance à cette année, «tous les gouvernements qui se sont succédé à la tête de l’État, ont mis en place des programmes et des stratégies pour promouvoir le plein épanouissement des jeunes et assurer le rayonnement du sport malien».
«Aujourd’hui, poursuivra-t-il, outre ces projets et programmes, des politiques publiques ont été élaborées et se mettent en œuvre progressivement. Ces politiques publiques, notamment la Politique nationale de développement du sport (PNDS), accordent une grande place à la réalisation des infrastructures sportives. Ainsi, toutes les régions administratives disposent au moins d’une infrastructure de telle ou telle catégorie». Mais selon Amadou Diarra Yalcouyé, la plupart de ces infrastructures sportives se dégradent sous le coup du déficit de personnel, de l’insuffisance d’équipements techniques, du manque d’entretien approprié, de l’inadaptation de la maintenance des installations, de l’absence de mécanismes rigoureux de suivi-évaluation régulier des installations et de l’insuffisance du budget pour assurer l’entretien et le fonctionnement souhaité.
«Conséquence : il y’a deux ans encore, la majorité de nos infrastructures ne répondaient plus aux normes internationales de la Confédération africaine de football et de la Fédération internationale de football association. Combien de fois, nous avons peiné pour trouver des stades dans des pays limitrophes amis, afin de délocaliser certains de nos matches internationaux», a rappelé Amadou Diarra Yalcouyé. «Ainsi, insistera-t-il, dès son arrivée à la tête du département, le ministre Mossa Ag Attaher a axé ses actions sur la réhabilitation et la gestion des installations sportives. Un chargé de suivi des infrastructures a été nommé en la personne de Mohamed Ag Mattou. C’est dans cette dynamique que des investissements importants ont été consentis dans certaines infrastructures pour les mettre aux normes requises»
Le secrétaire général a engagé l’ensemble des panelistes et les personnes ressources à user de la plénitude de leurs capacités pour faire un diagnostic sans complaisance et formuler des recommandations pouvant contribuer à une meilleure gestion des infrastructures qui sont des services publics de promotion et de développement du sport.
Seibou Sambri Kamissoko
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