
L’organisation entend participer à l’éveil de consciences des citoyens
C’était sous la présidence du chargé de
mission au ministère de la Communication, de l’Économie numérique et de la
Modernisation de l’Administration, Harouna Barry, en présence du vice-président
de la Maison de la presse, Mamadou Dabo et du président du RJPM-Mali, Housseyne
Ag Issa.
Selon ce dernier, le RJPMA-Mali est un regroupement
professionnel des acteurs des médias, notamment ceux qui parlent l’arabe.
Housseyne Ag Issa a expliqué que le Réseau s’est fixé comme objectifs :
l’initiation et le développement des projets d’amélioration des conditions de
vie des journalistes en général, des journalistes arabophones en particulier.
Il a aussi précisé que l’organisation entend participer à l’éveil de conscience
des citoyens à travers des projets éducatifs en langue arabe et autres langues
locales.
«Quand le monde
entier s’intéresse à ce qui se passe au Mali et lorsque nos voisins du monde
arabe souhaitent comprendre les réalités des choses dans notre pays, à ce moment
un grand vide s’installe. On constate alors l’absence d’interlocuteurs
arabophones pour défendre l’intérêt du pays dans les médias arabes afin de
participer au rehaussement de l’image du Mali, pays de la liberté d’expression
et des droits de l’Homme», a déclaré le président du RJPM.
À l’en croire, le nombre des journalistes arabophones est très
important aujourd’hui au Mali, d’où cette initiative commune de créer ce réseau
afin de les regrouper autour d’un idéal
commun. Le représentant du ministre a salué l’initiative et le thème
qui atteste son engagement envers notre pays en cette période. Harouna Barry a
invité les membres du RJPM à passer les vraies informations dans la langue
arabophone pour rehausser l’image du pays.
Quant au vice-président de la Maison de la presse, il a
souligné que le Réseau doit accompagner les autorités à réussir et à relever le
défi de la réconciliation et de l’entente.
Pour cela, il a précisé que les journalistes arabophones ont un grand rôle
à jouer dans un pays où plus de la moitié des citoyens sont musulmans. Selon
lui, les journalistes doivent maîtriser la communication de crise pour influer
sur les comportements pendant ces périodes, a-t-il justifié.
Notons que le Réseau est ouvert à toute personne exerçant le métier de journalisme dans les organes étatiques ou privés, tant au niveau local qu’international. Pour y adhérer, un site internet bi-langue (www.rjpm-mali.org) est déjà disponible pour présenter le Réseau, ses objectifs et ses activités, voire d’autres informations utiles.
Fadi CISSE
Les corps des sept pèlerins maliens qui ont perdu la vie, le 11 Août 1974 au Burkina Faso, dans un crash alors qu’ils rentraient au pays après le pèlerinage de la Oumra en Arabie Saoudite reposent désormais au cimetière de Hamdallaye en Commune IV du District de Bamako..
Le collage d’affiches portant l’inscription «Attention, nouvelle conductrice» sur la voiture fait partie des astuces que certaines personnes au volant utilisent pour se faciliter la circulation dans la capitale. Et apparemment ça marche.
La Haute autorité de la communication (Hac), en partenariat avec le Fonds des Nations unies pour l’enfance (Unicef), a initié une formation des journalistes sur l’application des instruments juridiques nationaux et internationaux relatifs à la protection et à la promotion de l’image des en.
Répondant à la sollicitation du gouvernement, ces derniers s’engagent à mutualiser leurs moyens pour faire face à toute éventuelle pénurie de denrées de première nécessité dans ces localités. Pour y arriver, ils demandent aux autorités de sécuriser les axes routiers reliant les régio.
Après la fête, le temps semble tourné au ralenti. Bamako est encore dans la mouvance de l’Aid el-fitr et cela se traduit par une morosité patente dans plusieurs secteurs d’activité comme les banques et autres établissements financiers.
Cet acte de solidarité estimé à près de 45 millions de Fcfa, concerne 31 lieux de culte dans des villes du pays abritant des agences ou des points de vente de la Banque de développement du Mali (BDM-SA).