
Les participants ont passé au peigne fin la photographie de l’enseignement catholique
Ce forum
de trois jours a regroupé 120 participants autour du thème : «L’enseignement
catholique dans le Mali d’aujourd’hui : quelles perceptives pour garder son
identité et demeurer au service de la population ?». Dr
Augustin Poudiougo a expliqué qu’au cours de rencontre, la qualité des
questionnements, des contributions, le climat des débats sur les préoccupations
actuelles de l’enseignement catholique et sur sa nouvelle trajectoire ont été
appréciables.
À le croire, les participants ont passé au peigne fin la
photographie du système éducatif en général, mais surtout celle de
l’enseignement catholique. Ainsi, ils ont pu déterminer les forces, les
faiblesses, les défis et les orientations à intégrer. Ils ont aussi poussé la
réflexion sur comment faire pour une refondation de l’enseignement catholique
afin qu’il puisse mieux répondre à sa vocation de servir les populations, tout
en gardant les principes fondamentaux qui font de lui ce qu’il est,
c’est-à-dire son identité, a dit le
représentant du ministère de l’éducation nationale. Et d’ajouter que les
participants ont des propositions, suggestions et recommandations. Aussi,
dira-t-il, l’identité de l’enseignement catholique, c’est la qualité, la
rigueur et être au service du monde.
«L’heure n’est plus à la récitation de la
litanie des maux de notre école ou de notre société en général. Ce n’est plus
le temps des longues et douloureuses lamentations face à la gravité de la
situation, face à la maladie que nous avons bien pu diagnostiquer pendant ces
quelques jours de réflexion. Le Forum nous a permis d’identifier le traitement
qu’il faut à notre école malade, et au-delà à notre société», a fait savoir Dr
Augustin Poudiougo. Selon lui, chacun doit agir et contribuer selon ses
capacités à la prise en charge de l’ordonnance.
Pour l’abbé Edmond Dembélé, le forum a pu se tenir grâce à l’engagement et la contribution de tous les acteurs et partenaires de l’enseignement catholique au premier rang desquels les enseignants. Grâce à un système de cotisation qui avait été mis en place après le forum de 2013, avec l’accord des évêques, on a réussi à constituer un fonds en vue de l’organisation de cette rencontre. Le directeur national de l’enseignement catholique a aussi témoigné de sa gratitude à l’endroit de tous, y compris les partenaires dont les contributions sont précieuses. Enfin, il a fait sien un adage bien connu de chez nous. : «Aide toi et le ciel t’aidera».
Aminata SOUMAH
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