
L’atelier a mis l’accent sur les efforts à faire afin que les minorités ne soient pas oubliées
L’objectif
de cette rencontre d’une journée était
de renforcer les capacités des organisations de personnes vivant avec
des handicaps à mener des actions de plaidoyer pour leur inclusion effective
dans le processus électoral.
Le représentant de l’Ifes au Mali a révélé que sa fondation
met en œuvre un projet à trois
composantes dont l’une est relative à l’inclusion. Cette dernière concerne un
groupe de personnes qui sont généralement marginalisées. Selon Mathias Hounkpe,
les associations des personnes vivant avec un handicap font partie de ce groupe
humain dont ils veulent garantir l’inclusion aussi bien dans la participation
aux processus démocratique, de façon générale, et surtout électoraux au Mali.
Aussi, le représentant de l’Ifes a-t-il souligné que l’atelier a permis aux
participants d’avoir accès à des techniques pour mieux analyser les textes de
loi et de préparer leur plaidoyer pour leur inclusion dans les processus démocratique
et électoral.
Le conseiller à la protection des femmes à la Mission
multidimensionnelle intégrée des Nations unies pour la stabilisation au Mali
(Minusma) a rappelé que son intervention au cours de cet atelier a mis l’accent
sur les efforts qu’il faille faire pour que les minorités ne soient pas oubliées.
Pour Kouadio Oshcard, l’exercice a consisté à donner les éléments et les outils
techniques qu’on peut utiliser pour analyser une loi en tenant compte de
l’aspect inclusif.
«Nous sommes donc partis sur l’aspect des indicateurs
d’inclusivité et avons défini l’inclusion. Sur la base de ces indicateurs, il était
question de réviser les textes de lois qu’ils avaient et s’assurer que ceux-ci
répondaient ou non aux critères d’inclusion», a-t-il expliqué. En outre, a
souhaité le conseiller à la protection des femmes, il faut continuer avec le même
partenaire et les autres minorités. Mais, cette fois-ci, ne pas s’arrêter à
Bamako seulement, organiser des ateliers dans les régions, les villages parce
que les minorités ne sont localisées en un seul endroit.
Pour la participante Rokiatou Diakité, à travers cet
atelier, il s’agissait d’apprendre à analyser les lois de manière approfondie,
si la loi est inclusive et prend en compte toutes les personnes concernées. Et
aussi, si la loi peut avoir un impact positif ou réalisable. «Il est
important de savoir à qui s’adresser si la loi n’est pas appliquée normalement
et comment faire des recours pour qu’elle le soit», a développé la
participante.
Il s’agissait aussi de voir comment les personnes qui enfreignent
cette loi peuvent être sanctionnées. Selon Rokiatou Diakité, tant qu’on n’a pas
appris à analyser les lois de manière judicieuse, méticuleuse et très
approfondie, il y aura beaucoup de détails qui peuvent nous échapper.
Mariétou KOITE
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