
Les participants à cet atelier vont tenter de trouver l’articulation nécessaire entre les différents éléments dans un Mali Kura
La cérémonie d’ouverture de l’atelier était présidée par le coordinateur général du Cinsere-ANR, Me Amadou Tiéoulé Diarra. Deuxième du genre sur la présentation du livre des indicateurs issus du Cadre stratégique de la refondation de l’État, l’exercice se fonde sur les Assises nationales de la refondation(ANR), le Dialogue inter-Maliens, les états généraux de l’éducation, la migration, la jeunesse et la culture.
Il prend également en compte le pacte de stabilité sociale et de croissance et la lettre de cadrage du Président de la Transition, le Général d’armée Assimi Goïta. Les participants à cet atelier vont tenter de trouver l’articulation nécessaire entre les différents éléments dans un Mali Kura. L’objectif de cet atelier est de favoriser la compréhension des nouveaux outils, de comprendre la diversité d’approche et d’amorcer une réflexion critique à travers un dialogue ouvert entre les responsables des programmes et le Cinsere-ANR.
C’est pourquoi, le coordinateur général a indiqué que face à la grande diversité des recommandations, chaque département ministériel serait fondé à avoir ses règles et ses méthodes applicables à celles-ci. Me Amadou Tiéoulé Diarra a fait remarquer que cet atelier vise à présenter les nouveaux outils confectionnés par le Comité avant d’entrer en vérification des recommandations qui ont été mises en œuvre par les autorités de la Transition.
L’idée d’une telle démarche est d’uniformiser les dispositifs de contrôle, a expliqué Me Diarra. «Si nous concevons les recommandations comme la volonté des populations exprimée sur la mise en œuvre des politiques publiques, il doit être accepté que les mêmes Maliens soient à mesure de demander des comptes à ses gouvernants et exiger des réponses», a-t-il souligné. Selon lui, c’est cette obligation de rendre compte qui est en train de gagner du terrain. Le coordinateur général du Cinsere-ANR ajoutera que des réformes juridiques et institutionnelles ont été opérées non pas pour maintenir le statu quo, mais pour aboutir à des changements profonds.
En sa qualité de doyen de la rencontre, le secrétaire général du ministère de l’Entrepreneuriat national, de l’Emploi et de la Formation professionnelle a affirmé que cet atelier constituait un creuset d’échanges entre les acteurs clés de la mise en œuvre des recommandations des ANR et ceux des différents fora nationaux. Drissa Guindo est persuadé que des enseignements pertinents sortiront des échanges autour de la nouvelle dynamique d’intégration des recommandations dans un cadre unifié de planification et de gestion.
Namory KOUYATE
Ce travail, mené par la Commission nationale de vulgarisation des symboles de l’État, a concerné le drapeau, l’hymne national, la devise, les armoiries et le sceau.
Enseignant-chercheur à la faculté de droit privé de l’Université Kurukanfuga de Bamako et secrétaire général adjoint de l’Association malienne de droit pénal, Dr Boubacar Bocoum, cogite sur l’arsenal juridique que l’État a mis en place pour lutter contre la cybercriminalité.
Dans nos échanges avec le procureur de la République du Pôle national de lutte contre la cybercriminalité, Dr Adama Coulibaly, a dit en substance que sa juridiction est compétente pour statuer sur les affaires en lien avec la Loi n°00-046 du 7 juillet 2000 portant régime de presse et d.
Intitulé «La Confédérale», cet hymne est une œuvre musicale et poétique qui incarne l’âme commune, les valeurs fondatrices et les ambitions collectives des peuples du Burkina Faso, du Mali et du Niger. Composé de trois couplets et deux refrains, il se veut à la fois un repère identitair.
Le Chef de l’État, non moins Président de la Confédération des États du Sahel, le Général d’armée, Assimi Goïta a reçu en audience, ce lundi 12 mai au palais de Koulouba, les ministres chargés de la Culture du Burkina-Faso, du Niger et du Mali..
Le ministre de la Justice et des Droits de l’Homme, Garde des Sceaux, Mamoudou Kassogué a présidé, hier, les cérémonies de remise du rapport 2024 sur la traite des personnes et les pratiques assimilées et la première réunion ordinaire du Comité national de la lutte contre la traite des pe.