
Les syndicalistes menacent d’entamer une grève illimitée si les points de revendication ne sont pas pris en compte (archives)
Ils avaient
déposé un préavis de grève le 24 janvier dernier «signé des deux comités
syndicaux» du CHU Gabriel Touré : le Syndicat national des cadres médicaux
(Synacam) et le Syndicat national de la santé, de l’action sociale et de la
promotion de la femme (SNS-AS-PF),
affirme le secrétaire général adjoint du Comité syndical et de l’établissement,
Djimé Kanté, contacté par nos soins.
Le secrétaire général du Syndicat national de la santé, de l’action sociale et de la promotion de la femme (SNS-AS-PF) juge cette grève illégale et dit ne pas reconnaître ces comités. «Ils se sont autoproclamés comités et ne
sont pas reconnus
officiellement», a déclaré Kodouh Dembélé. Avant d’ajouter que c’est une
violation des textes. Par conséquent, il invite les travailleurs du CHU Gabriel
Touré a travailler convenablement.
Ce débrayage fait suite à une
série de grèves que les comités syndicaux ont déclenché depuis le 8 février
dernier. Au terme de ces 5 jours, les syndicalistes menacent d’entamer une grève
illimitée si les points de revendication ne sont pas pris en compte.
Les doléances tournent autour
de quatre axes. Il s’agit de l’amélioration des conditions de soins,
d’hospitalisation et d’accueil, le respect des engagements pris, l’amélioration
de la gouvernance hospitalière, la remise des bi-appartements dans leur droit
et l’alignement de la grille salariale.
En réponse à la demande de trêve
du président de la Transition, aux messages du gouvernement et de l’Union
nationale des travailleurs du Mali (NTM) suite aux sanctions de la Communauté économique
des États de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao), il avait, selon Djimé Kanté, été décidé
de surseoir à la grève qui était en cours à l’époque. Afin de soulager la
souffrance de la population.
«Ce temps devrait être mis à profit pour permettre
aux autorités de trouver une solution à l’amiable. Ce qui n’a pas été fait», à
en croire le syndicaliste qui garantit que le service minimum est assuré par
toutes les unités.
Fatoumata NAPHO
Dans un communiqué datant de ce mardi 14 octobre 2025, l´État-major général des Armées a révélé le bilan des opérations du 13 octobre dernier dans la Région de Tombouctou..
Le Mali a célébré, ce 13 octobre 2025, la Journée internationale pour la réduction des risques de catastrophes, placée sous le thème « Financer la résilience, pas les catastrophes ». À cette occasion, le ministre de la Sécurité et de la Protection civile, le Général de division Daoud .
Cette annonce a été faite ce lundi 13 octobre par l'État-major général des Armées à l'issue d'une opération menée le samedi 4 octobre dernier. Un autre coup de massue sur les forces du mal après les faits d'armes des FAMa et leurs alliés de l’AES en milieu de semaine dernière.
Les frappes aériennes menées le 8 octobre 2025 dans le secteur d’Inarabane, Région de Ménaka, et ayant fait l’objet d’un communiqué le 9 octobre, ont été exécutées avec un remarquable succès et une grande précision, a annoncé ce samedi 11 octobre 2025 la Direction de l’informatio.
Hier vendredi 10 octobre, les vecteurs aériens des Forces armées maliennes (FAMa) ont encore engrangé des succès en détruisant des bases terroristes dans la zone frontalière avec le Niger..
Dans le cadre des opérations de sécurisation du territoire national, les Forces armées maliennes (FAMa) ont mené, dans la nuit du jeudi 9 au vendredi 10 octobre 2025, une intervention de grande envergure dans la zone de Zantiebougou, Région de Bougouni..