
La période de sensibilisation de trois mois recommandée par les acteurs expire le 31 mars
Cette interdiction a été validée par le Conseil des ministres le 12 février 2025. L’annonce a été faite le 7 mars dernier dans un communiqué conjoint du ministère des Transports et des Infrastructures et de celui de l’Économie et des Finances. Cette mesure prise par notre gouvernement vise à préserver le réseau routier des graves dommages causés par les véhicules gros porteurs hors gabarit et hors normes, circulant en surcharge sur les routes, en partance ou en provenance des ports maritimes, où transite le fret généré par les importations et les exportations. Selon les deux départements, la circulation de ces véhicules entraîne la dégradation précoce du réseau routier national dont la conception a été faite en fonction des caractéristiques des matériaux de construction routière.
Le communiqué informe que des actions ont été menées au préalable avant la prise de cette décision. Il s’agit de l’organisation par le ministère des Transports et des Infrastructures d’une réunion de concertation entre les services techniques, les transporteurs, les chargeurs, les transitaires et les commerçants dans le but de trouver une solution à ce phénomène. À la suite de laquelle, indique le document, il a été recommandé de sensibiliser tous les acteurs pendant une période de trois mois qui expire le 31 mars, en vue de se conformer aux dispositions du Code de la route.
Selon les deux départements, conformément au cadre de coopération dans l’espace communautaire, les ministres chargés des Transports des pays de la sous-région ont été invités à informer leurs transporteurs et chargeurs de la mise en application prochaine de la réglementation sus visée, qui est conforme au Règlement n°14 de l’Uemoa. La ministre chargée des Transports, Mme Dembélé Madina Sissoko et le ministre chargé de l’Économie, Alousséni Sanou, ont engagé les services techniques compétents de leurs départements à prendre toutes les dispositions pour l’exécution des mesures arrêtées.
Mohamed DIAWARA
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