
modifiée, dont les attributions sont l’autorisation de création des services privés de diffusion et de télévision, d’installation et d’exploitation des services privés de communication audiovisuelle.
Mais aussi
de veille et d’alerte, de consultation, recherche, contrôle et sanction. La sentinelle a donc décidé de prendre le
taureau par les cornes. Dans un communiqué
dont une copie nous est parvenue, la Hac explique qu’en exécution de ses
missions de veille et d’alerte, elle a rencontré les couches
socioprofessionnelles engagées dans la gestion de la problématique en question.
à l’issue de ces différentes rencontres, des constats ont été établis.
La publicité sur les médicaments est autorisée,
mais strictement encadrée par les dispositions de la loi n°2017-017 du 12 juin
2017 fixant le régime de la publicité (articles 27, 28 et 29) et celles de l’arrêté n°
2018-428 /MSHP-SG du 07 décembre 2018 fixant les conditions de publicité
relatives aux médicament à usage humain et d’autres produits pharmaceutiques
(articles 2, 4, 6, 8, 9, 10, 20, 21 et 23), la publicité tapageuse et mensongère
par les médias sur les médicaments traditionnels constitue une violation des
lois et règlements. Elle compromet dangereusement la santé des populations, en
les détournant notamment des professionnels et en les exposant à des
complications souvent irréversibles. Un autre constat est que les guérisseurs
et tradithérapeutes de renom dans nos traditions ne font pas de publicité et
sont connus du public par «le bouche à l’oreille» et les officines de pharmacie
bien que tenues par des spécialistes sont interdites de publicité.
Au regard de ces remarques, la Hac a instruit
les médias d’inscrire leurs activités dans le strict respect de la réglementation
en vigueur et de ne pas faire de publicité sur les médicaments traditionnels
qui n’auraient pas le visa de la direction de la pharmacie et du médicament
(DPM) autorisant la publicité sur ledit médicament.
La Hac invite aussi dans ledit communiqué «tous les médias (radios, télévisions, presse écrite, et presse en ligne) à prendre les dispositions utiles sous peine de sanctions prévues par le décret n°2016-0626/P-RM du 25 août 2016, pour mettre fin, dans leurs programmes, à la publicité sur les médicaments traditionnels non autorisés par la direction de la pharmacie et du médicament au plus tard le 31 décembre 2023».
Sinè TRAORE
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