
À cette occasion, au nom de la CMDT, le secrétaire général du comité syndical a souhaité la bienvenue au nouveau PDG dans la grande famille de la Compagnie et salué le choix porté sur lui pour conduire la destinée de leur service. Et d’ajouter que les travailleurs de la CMDT par sa voix ne ménageront aucun effort pour l’accompagner dans la réussite de sa mission pour l’intérêt de l’entreprise et de ses employés.
Daouda Traoré a souhaité que le Pr Mamadou Moustapha Diarra soit un bon chef de famille qui sera à l’écoute des vrais acteurs de la filière, à maintenir l’équité et la justice et à être un rempart pour protéger la CMDT et ses travailleurs. Auparavant, il avait témoigné de toute sa reconnaissance à Dr Nango Dembélé, l’ex-PDG de la CMDT pour les trois ans et sept mois de collaboration à la tête du Groupe CMDT.
À son tour, le nouveau Président directeur général de la CMDT s’est réjoui de rejoindre sa nouvelle famille après l’avoir quittées il y a 25 ans.
Conscient de la lourde responsabilité de tenir le gouvernail de ce gros bateau à aller vers une destination radieuse, le Pr Mamadou Moustapha Diarra dit s’engager avec le personnel de la CMDT à œuvrer pour sa prospérité au bénéfice des travailleurs et des partenaires avec à sa tête le Mali. Il s’est dit ouvert aux contributions et suggestions tout en rappelant au personnel qu’il est un orchestre qui doit jouer ensemble pour produire une mélodie. Pour y arriver, la transparence et la franchise doivent être de mise au bénéfice de la société tout en comptant sur les uns et les autres à donner le meilleur d’eux dans le respect mutuel.
Fadi CISSE
La tonne du ciment local doit être cédée à 112.000 Fcfa contre 117.000 Fcfa pour le ciment importé.
Le 1er adjoint au préfet de Kati, Issa Pléa, a ouvert, hier à la préfecture de Kati, les travaux de la 2è session ordinaire du Comité local d’orientation de coordination et de suivi des actions de développement (Clocsad) couplée au 1er comité de pilotage du programme de l’ONG Join for w.
Certains reprochent à nos ouvriers leur manque de compétitivité à l’échelle sous-régionale, voire africaine. Ceux-ci expliquent simplement que derrière les travailleurs manuels d’autres nationalités, qui officient dans notre pays, se cachent nos professionnels pour la réalisation de leu.
«Pour un pays comme le nôtre, en quête de stabilité, de souveraineté et de cohésion nationale, la qualité de l’information n’est pas un luxe : elle est une nécessité indispensable et même un enjeu stratégique»..
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Le budget de l’Agence pour l’exercice 2024, adopté par la 45è session ordinaire, se chiffre à plus de 2,3 milliards de Fcfa contre 2,2 milliards Fcfa en 2023, soit un taux d’augmentation de 0,80%.