
Les questions d’héritage font généralement couler beaucoup de salive dans notre société, surtout lorsqu’elles mettent en scène des coépouses et/ou leurs progénitures. F, l’héroïne de cette histoire ne dira pas le contraire, car elle s’est retrouvée dans les coulisses d’un parquet pour répondre à une plainte déposée par M, sa coépouse.
La plainte a trait à une affaire d’héritage que leur défunt mari a laissé sans testament avant sa mort. Selon nos sources, le défunt que nous désignons par ses initiales L.D était un élément des Forces armées. Il était légalement marié à F, la première, et à M aussi qu’il avait prise en secondes noces. Pour parer à toute éventualité, de son vivant, l’homme a voulu éviter toute tension dans sa famille à Kati, où il résidait avec les siens.
Ainsi, ses deux épouses vivaient séparément. La première était logée avec ses six enfants (trois garçons et autant de filles) dans une concession, dans un secteur de la ville garnison. Quant à la seconde, M, après son mariage, elle résidait dans la belle famille avec ses deux fillettes dont la plus jeune à dix mois.
Du vivant de leur époux, les deux dames ont fait l’effort nécessaire de s’entendre. Ainsi, elles donnaient toujours l’impression à leur époux qu’il n’y avait pas de problème entre elles. Mais dans leur for intérieur, c’était autre chose, comme on le dit. Peu de temps après le décès de leur cher époux, les bisbilles étaient devenues leur quotidien. À la base de ces tentions récurrentes, se trouvent les biens laissés par L.D. Ces biens se composent de lots à usage d’habitation et de véhicules.
S’arroger les biens sans partage- Après le décès du pauvre militaire, il s’est avéré que la première épouse avait « confisqué » tout ce qu’il avait laissé derrière lui. Apparemment, la dame les avait gardés pour elle et ses enfants, excluant du coup sa coépouse et sa progéniture de l’héritage. Curieusement, il s’est trouvé que cette dernière n’avait été informée de rien et était restée bredouille. Elle avait du mal à imaginer une telle situation après le décès de leur époux. Une situation qui n’était pas de nature à arranger les choses entre les coépouses.
Constamment, la seconde épouse était sous tension du fait qu’elle était lésée par le comportement de sa « grande sœur ». Après un temps de réflexion, elle n’a eu d’autres solutions que de porter l’affaire au commissariat de police de son secteur. Sur place, les limiers les ont entendues toutes les deux sans pouvoir aboutir à un terrain d’entente. Incapables de les faire raisonner, ils ont fini par renvoyer leurs dossiers au parquet du Tribunal de Kati où dame F s’apprêtait à être entendue au sujet de la « confiscation des biens » de leur mari, objet de la plainte de sa coépouse.
Tiedié DOUMBIA
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