
Au regard des «enjeux énormes» liés à la diffusion de
cette information financière, l’Association professionnelle des banques et établissements
financiers du Mali (APBEF) rassure sa clientèle quant au respect par ses
membres des normes communautaires.
«L’Association professionnelle des banques et établissements
financiers du Mali (APBEF) fidèle à sa tradition de totale transparence vis-à-vis
de la population en général et de la clientèle en particulier rassure quant à
l’engagement de ses membres à toujours œuvrer pour le respect des règles
prudentielles de la Banque centrale des États de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO)»,
assure l’organisation dans un communiqué publié hier dont l’authenticité a été
confirmée auprès d’elle. Elle ajoute que ses membres continueront à respecter
leurs engagements vis-à-vis de la clientèle et des partenaires.
Par ailleurs, le communiqué ne confirme ni n’infirme la
fiabilité des informations distillées sur les réseaux. Cette prudence s’expliquerait,
selon nos sources, par le fait que l’APBEF ne dispose à ce stade d’aucune
information officielle faisant état de cette «créance douteuse».
Il faut rappeler que la Commission bancaire de l’Union économique
et monétaire ouest-africaine (Uemoa) a été créée par convention signée par les
ministres des Finances des États membres de l’Uemoa le 24 avril 1990 à
Ouagadougou, dans le but de «contribuer à assurer une surveillance uniforme et
plus efficace de l’activité bancaire et une intégration de l’espace bancaire
dans l’Uémoa». Elle exerce les pouvoirs qui lui sont attribués dans l’annexe à
la Convention sur le territoire de chacun des États membres.
Ces pouvoirs se rapportent notamment : à l’agrément et au retrait d’agrément des établissements de crédit, au contrôle des établissements de crédit et des systèmes financiers décentralisés. Ils se rapportent également aux mesures administratives et sanctions disciplinaires à l’encontre des établissements assujettis ou des dirigeants responsables.
Cheick Moctar TRAORE
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