
Le thème principal est de
cette rencontre est : «La protection des droits de l’Homme en période de
crise». La cérémonie de lancement s’est déroulée au siège du Sam, à
Banankabougou, en présence des membres
de la commission d’organisation.
L’UIM est une organisation
internationale professionnelle et apolitique qui regroupe, non pas des
individus, mais des associations nationales de magistrats, dont l’admission est
décidée annuellement par son Conseil central. Fondée en 1953 à Salzbourg (Autriche),
elle comprend 92 associations (syndicats) ou groupements représentatifs
nationaux sur les cinq continents repartis entre quatre groupes régionaux :
l’Association européenne des magistrats ; le Groupe régional
africain ; le Groupe Ibéro américain ainsi que le Groupe asiatique,
Nord-américain et océanien.
Le but principal de l’Union
est la sauvegarde de l’indépendance du pouvoir judiciaire, condition
essentielle de la fonction juridictionnelle et garantie des droits et des
libertés de l’Homme.
Dans son discours
introductif, le président du Sam, Bourama K. Konaté, a informé que le choix
porté sur notre pays par le groupe régional pour organiser l’édition 2023 a été
décidé il y a sept mois. Pour le magistrat, la réussite de l’évènement témoignera aux yeux du monde le retour du
Mali dans le concert des nations. C’est pourquoi il a souhaité que le Sam
l’organise en harmonie avec le département de tutelle afin de renouveler
l’engagement de notre pays. Selon le président de la commission d’organisation,
Djibrila Maïga, le traitement du thème central de la Conférence conduira les
magistrats à faire un clin d’œil sur certaines spécificités qui seront traitées en cinq sous-thèmes.
Le ministre en charge de la
Justice dira que son département a pris toute la mesure de ce grand événement
que notre pays doit organiser dans les meilleures conditions possibles pour son
honneur. Déjà, dès le 17 août 2022, une communication verbale a été adressée au
conseil des ministres, à travers laquelle le gouvernement a été informé de la
tenue de cette conférence dans notre pays.
Ce, tout en attirant l’attention sur
les enjeux pour le Mali et sur la nécessité de mobiliser tous les acteurs
concernés avec l’accompagnement et le soutien du gouvernement. Les riches et
pertinentes recommandations et suggestions, attendues des travaux, seront d’une
très grande utilité pour notre pays, pour l’espace sahélien et sous-régional en
proie au terrorisme, mais aussi pour l’UIM et le groupe africain, a souhaité le
Garde des Sceaux.
En guise de contribution au budget pour l’organisation de cette importante conférence au Mali, le ministre Kassogué a, sur place, mis à la disposition de la commission d’organisation, la somme d’un million de Fcfa.
Oumar DIAKITE
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