
Cette session a été organisée par la Fondation internationale pour
les systèmes électoraux (Ifes). La cérémonie d’ouverture des travaux était
présidée par le président de la Haute autorité de la communication (Hac),
Gaoussou Coulibaly, en présence du directeur pays de Ifes, Mathias C.
Hounkpe.
Dans la vie courante,
chacun, maladroitement, peut être amené à utiliser des expressions sans savoir
a priori qu’elles sont stigmatisantes. Mais après, on se rend compte qu’il y a
d’autres expressions qui peuvent remplacer celles-là. Saluant le partenariat de sa structure avec
Ifes, le président de la Hac a souligné que de la mi-mars 2022 à ce jour, Ifes
n’a cessé d’œuvrer de concert avec le centre de monitoring pour l’atteinte de
l’objectif commun, c’est-à-dire une meilleure prise en compte de l’inclusion de
groupes marginalisés par les médias au Mali.
Gaoussou Coulibaly dira qu’après un long processus d’élaboration d’indicateur pour le monitoring de l’inclusion dans les médias en français, une phase pilote a déjà permis de disposer aujourd’hui des données à cet effet. Il a expliqué que cette phase pilote a inspiré à son tour la réalisation d’un rapport de trois mois qui est en cours de finalisation. La Hac envisage de partager ce document avec les médias dans les semaines à venir.
Pour le directeur de
Ifes, cet atelier est la suite d’une série de rencontres commencées sur comment
réduire les expressions et l’élément de langage que les groupes marginalisés
trouvent souvent stigmatisant.
Au fond, a ajouté Mathias C. Hounkpe, ceci fait
aussi partie d’une catégorie d’activités beaucoup plus large que nous menons
conjointement avec la Hac depuis l’année dernière sur l’inclusion de façon
générale et spécifique dans le processus électoral. Pour la représentante du
Réseau des femmes africaines ministres et parlementaires au Mali (Refamp),
Fatimata Niambaly, il y a des propos qu’on ne doit pas tenir à leur endroit ni
à l’endroit des personnes qui vivent avec un handicap.
Mariétou KOITE
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