Pas un jour ne passe sans qu’une ou des
saisies ne soient enregistrées par les antennes. La dernière en date est celle
de l’antenne de Kayes. C’est ainsi que les policiers anti-drogue, ont, dans le
cadre de la lutte contre les médicaments contrefaits et des psychotropes, mené
dans la cité des Rails, une opération.
Cette
action de l’antenne de l’OCS a permis de mettre la main sur une quantité
importante de médicaments contrefaits dont plusieurs sont de types
aphrodisiaques non homologués dans notre pays. Au cours de cette descente, les
agents du chef d’escadron Boubacar Diarra ont procédé à l’interpellation d’un
jeune revendeur.
L’intéressé était en possession de substances psychotropes parmi lesquelles, des comprimés de tramadol 225 mg et 250 mg ainsi que 20 sachets de kusch. Ces preuves ont été suffisantes pour le renvoyer devant un juge qui l’a placé sous mandat.
….Et de
médicaments à DïoIla
L’Office
central des stupéfiants poursuit imperturbablement sa lutte contre le trafic de
médicaments illégaux. C’est ainsi que son antenne régionale de Dïoila vient de
se faire entendre par la saisie importante de produits psychotropes en
possession d’un individu suspect. La saisie a eu lieu à Seribougou, un hameau
situé à une trentaine de km de ladite ville.
Il est
clair et incontestable que la collaboration des populations, victimes
potentielles des contrebandiers, a toujours aidé les limiers dans leurs
investigations pour mettre hors d’état de nuire ces individus.
Dans cette affaire, tout comme dans d’autres du même genre, la collaboration et le renseignement ont été les meilleurs alliés de la police pour mener à bien sa mission. Et du coup, permettre aux citoyens de vaquer en toute sécurité à leurs occupations.
Le chef
d’antenne de Dïoila, le capitaine Soma Aboubacar Diarra et ses hommes tout
comme leurs autres collèges, ont foi en la collaboration des populations. C’est
ce qui a été très déterminant dans cette affaire pour saisir lesdits produits
et aussi mettre la main sur son détenteur. Ainsi pour en arriver là, le
renseignement a beaucoup joué dans l’identification du suspect qui a été par la
suite interpellé.
De sources
policières, à la date du 1er novembre dernier, l’antenne a reçu une information
de leur contact. Celui-ci a brièvement signalé la présence d’un individu
suspect ayant à sa possession une importante quantité de produits stupéfiants.
Aussitôt cette information reçue, le capitaine Soma Aboubacar Diarra a instruit
à ses hommes de l’identifier et de l’interpeller.
C’est comme cela qu’une équipe de l’antenne a interpellé Y.S, âgé de 48 ans en possession de.220 plaquettes de Diazépam, 25 plaquettes de Tramadol 225 mg, 29 plaquettes de 250 mg, 21 sachets de Mirages, et d’une vingtaine de paquets de cigarettes contrefaçons. S’y ajoutent une quantité de produits pharmaceutiques et vétérinaires contrefaits. Le total des comprimés saisis (diazépam, tramadol 225 et 250 mg) s’élève à 2.740 comprimés. Quant au mis en cause, il a été présenté au procureur du Tribunal de grande instance de Dïoila, qui l’a placé sous mandat de dépôt.
Tamba CAMARA
Ils coupaient le sommeil aux boutiquiers et aux propriétaires de bétail. Le nombre élevé de leurs victimes a fini par les perdre.
Il ne jurait que pour les appareils haut de gamme laissés dans les voitures en stationnement. Les plaintes chez les policiers ont eu raison de lui.
Le concert de Sidiki Diabaté, virtuose de la Kora aura finalement lieu. L’artiste a, dans un communiqué en date de ce vendredi 06 décembre, confirmé la tenue de son spectacle tant attendu à La Défense Arena, à Paris dans la capitale française..
Il semait la terreur et avait tellement confiance en lui qu’il se croyait imprenable. Mais c’était sans compter avec l’engagement des limiers à débarrasser la cité des malfrats de son genre.
Un faux policier, mais un vrai faussaire et un vrai escroc. C’est en somme le qualificatif approprié pour M.S.D, ce quadragénaire qui vient de se faire prendre dans les mailles des filets de la police, au terme d’intenses recherches discrètement menées à Bamako et dans d’autres localités.
Les deux malfrats avaient reussi leur coup. Mais sans le savoir, ils s’en étaient pris à une victime plus chanceuse qu’eux.