
Selon les avocats de la chanteuse et ceux de la partie civile, le metteur en scène Jan Goossens, un accord a été trouvé concernant l’avenir de leur fille. Par conséquent, le tribunal correctionnel a déclaré recevable l’opposition formée par la chanteuse contre sa condamnation à deux ans de prison.
En octobre 2023, l’artiste avait été condamnée par défaut à deux ans de prison pour ne pas avoir respecté une décision du tribunal concernant la garde de l’enfant, issu de la relation entre notre compatriote le dramaturge belge Jan Goossens. Ce dernier n’a plus revu sa fille de 10 ans aujourd’hui, depuis la séparation du couple en 2019, et ce malgré deux décisions de justice en sa faveur.
La justice a d’abord accordé un droit de visite au père en juin 2019 puis fixé la résidence principale de l’enfant à Bruxelles, la garde restant partagée entre les deux parents.
Arrêtée à Rome en juin 2024, puis extradée en Belgique fin novembre, Rokia Traoré avait fait opposition à sa condamnation.
L’examen de cette opposition, après une audience préliminaire le 23 décembre, a été reporté à plusieurs reprises en raison de discussions entre les parties.
Youssouf DOUMBIA
Ce rendez-vous culturel consacre, cette année, le lancement de la Semaine de la fraternité de la Confédération AES. Les dirigeants des trois pays ont souhaité en faire un outil de rapprochement des peuples, de paix et de cohésion sociale.
Notre pays conserve toujours son quota de 13.323 places accordées à nos pèlerins par l’Arabie saoudite. C’est la preuve de la confiance et de l’estime dont jouit le Mali auprès des autorités saoudiennes dans l’organisation du cinquième pilier de l’Islam. Sur ce nombre, 2.000 places s.
«Allah ndèmè», littéralement Dieu aide moi. Les mélomanes se souviennent encore de cet air aux allures de cri du cœur et qui a fait tabac au-delà de nos frontières. L’auteur de cet opus, Adama Namacoro Fomba, s’est éteint samedi dernier à Dioïla. Il laisse aux mélomanes maliens troi.
Pour cette rencontre majeure sur la culture, l’artisanat, le tourisme et l’industrie hôtelière, les initiateurs ont mis les petits plats dans les grands. Les mille places de la salle Djéli Baba Sissoko du Centre international de conférences de Bamako (CICB) n’ont pas suffi pour accueillir .
C’est sans exagération aucune l’un des piliers de l’art dramatique de notre pays qui s’en est allé. Il a quitté définitivement la scène après avoir perdu la dernière bataille qu’il livrait contre la maladie..
Cette entreprise de presse propose pour l’année 2025, un continu diversifié avec des émissions de débats, de divertissement, mais aussi des séries télévisées filmées par elle-même.