Bondissant à son entrée sur la piste violette du Stade de France, Lyles est sorti victorieux d'une finale follement disputée et crispante : sur la ligne d'arrivée, les huit sprinteurs ne sont séparés que par douze centièmes, et il ne doit l'or olympique qu'à une avance des plus infimes sur le Jamaïcain Kishane Thompson, révélation du sprint mondial.
L'un comme l'autre sont crédités du même chrono : 9 sec 79-record personnel pour Lyles. "C'était un moment fou. J'ai vraiment pensé que Kishane avait gagné. Je me suis dit que j'allais devoir ravaler ma fierté, avoue Lyles. Et quand j'ai vu mon nom, je me suis dit : J'ai fait ça contre la crème de la crème, dans la plus grande compétition, avec la pression la plus forte".
Lyles permet aux états-Unis de reconquérir l'or olympique de la course reine qui leur échappait depuis vingt ans, au lendemain de la désillusion vécue par Sha'Carri Richardson sur le 100 m féminin, battue par la sprinteuse de Sainte-Lucie Julien Alfred. Avec la légende jamaïcaine Usain Bolt entre 2008 et 2016 et la surprise italienne Marcell Jacobs en 2021, le dernier Américain champion olympique de la ligne droite était Justin Gatlin en 2004.
Ongles peints et étoilés façon drapeau US, cheveux tressés et décorés de perles blanches, Noah Lyles voit beaucoup plus grand à Paris. Auteur d'un triplé retentissant cette année aux Mondiaux de Budapest, 100 m, 200 m et 4x100 m, le sprinteur floridien ambitionne même un quadruplé au Stade de France : 100 m, 200 m - sa course de prédilection-, 4x100 m et 4x400 m- même s'il n'en est pas un spécialiste.
Un défi auquel même Bolt ne s'est jamais attaqué. A 27 ans, Lyles s'était déjà imposé comme un des visages de l'athlétisme mondial, avec son triplé hongrois, sa collection de six titres mondiaux depuis 2019, et son rôle principal tenu dans la série Netflix "Sprint", qui suit les athlètes les plus rapides du monde.
Source AFP
Rédaction Lessor
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