
Photo de famille des participants et bénéficiaires après l’ouverture des travaux
C’était en présence du chargé de projet de Case sahel à Ségou, Nabilaye Issouf
Koné, de la représentante du maire de la Commune urbaine de Ségou, Mme Sacko
Djelika Haïdara, du coordonnateur communal des chefs de quartier de Ségou,
Koleba Traoré, et de nombreux acteurs sociaux venant de certains villages.
La
rencontre de deux journées s’inscrivait dans le cadre du Projet d’appui à la
prévention des conflits et au renforcement de la cohésion sociale dans les
milieux scolaires et communautés environnantes à Bamako et Ségou. Elle visait à
contribuer à l’instauration des espaces de dialogue et d’échanges entre les
différentes couches sociales y compris les déplacés et intergénérationnelle.
Au
cours de la rencontre, les représentants des organisations de femmes et de
jeunes présents, les chefs de village et de quartier et conseillers, les
populations déplacées internes et les hommes de caste ont échangé sur les
bonnes pratiques traditionnelles en faveur de l’unité et de la cohésion
sociale. Ils ont également analysé le contexte actuel du pays et les mécanismes
renforçant l’inclusion et la cohésion sociale.
Dans
son allocution d’ouverture, le chargé de projet de Case Sahel à Ségou a
expliqué que la crise sécuritaire que notre pays vit notamment dans les Régions
du Centre et du Nord a forcé des milliers de personnes à se déplacer vers des
zones plus sûres notamment à Bamako et Ségou.
Ce
mouvement a entrainé le déplacement de 38.885 déplacés internes dans ces
localités. «Cette crise humanitaire affecte particulièrement les femmes et les
enfants. Les familles de déplacés dans le District de Bamako et dans la Région
de Ségou sont accompagnées d’environ 24.109 enfants âgés de zéro à 17 ans dont
certains fréquentent l’école. Ces enfants ayant souvent vécu des traumatismes
liés à la guerre se retrouvent parmi les autres enfants des familles d’accueil
et ont du mal à s’insérer socialement», a déploré Nabilaye Issouf Koné.
Et
de souligner que le Projet d’appui à la prévention des conflits et au
renforcement de la cohésion sociale dans les milieux scolaires et communautés
environnantes à Bamako et Ségou est une contribution de Case-Sahel afin
d’améliorer la cohésion sociale au sein et/ou entre les enfants des déplacés
internes, réfugiés et familles hôtes en milieu scolaire de l’enseignement
fondamental du District de Bamako en Communes V, VI, et agglomérations (Niamana
et Zantiguila) à Ségou, Sébougou, Bla, San et Niono.
Il
permettra d’accompagner les communes pour la prise en compte des nouvelles
situations (accueil d’autres populations, conflits, violations des droits,
etc.) qui continuent d’hypothéquer l’atteinte des objectifs des différents
plans de développement. «Des actions de promotion de la non-violence et de la
cohésion sociale seront intégrées dans les écoles et dans leurs environnements
communautaires pour commencer à promouvoir la cohésion sociale et la paix à
Bamako, Ségou, Sebougou, Niono, Bla et San», a-t-il-annoncé. Nabilaye Issouf
Koné a remercié la GIZ-Papse, partenaire technique financier.
Les représentants du préfet et du maire dans leurs allocutions ont, tous deux, remercié Case Sahel et ses partenaires pour ses actions en faveur de l’inclusion, la cohésion et le vivre ensemble. Au regard de l’importance de la rencontre le représentant du préfet de Ségou, Zanga Diarra, a exhorté les participants à suivre avec assiduité et attention les communications.
Aminata Dindi SISSOKO / AMAP - Ségou
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