
C'est dans ce cadre que le président de la Transition, le colonel Assimi Goïta, à travers un décret en date du 17 août dernier, a installé le Conseil national du dialogue social (CNDS). Celui-ci est institué, auprès du ministre chargé du Travail et de la Fonction publique, un organe consultatif tripartite dénommé CNDS.
Le CNDS est chargé de promouvoir une culture de prévention des conflits de travail dans les secteurs public, parapublic et privé y compris l'économie informelle ; d'organiser des concertations nationales ou sectorielles périodiques ou ponctuelles dans des secteurs public, parapublic et privé y compris l'économie informelle.
Son but est de faciliter les négociations collectives de branche entre les organisations d'employeurs et les organisations syndicales de travailleurs ; de participer au renforcement de capacité des acteurs du travail. Il est chargé de procéder à des études et recherches sur toutes autres questions relevant de sa compétence ; de participer à la réflexion sur les politiques nationales dans les domaines du travail, de l'emploi et de la protection sociale.
Le CNDS entend former des recommandations sur les questions de travail surtout à l'occasion des crises économiques et sanitaires ; de former des recommandations sur les cas supposés de violation de la liberté syndicale à la suite d'une auto-saisine ou à la suite d'une saisine formulée par une centrale syndicale ; de procéder à des médiations entre acteurs du travail, notamment en cas de rupture de dialogue.
Le CNDS comprend trente membres répartis dont dix représentants du gouvernement ; dix représentants des organisations d'employeurs les plus représentatives ; dix représentants des organisations de travailleurs les plus représentatives. À noter que les représentants des employeurs et des travailleurs sont désignés par leurs organisations syndicales respectives.
Souleymane SIDIBE
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