
Les
épreuves des concours directs de recrutement dans la Fonction publique de l’État
au titre de l’année 2023 ont commencé samedi dernier et se poursuivront
dimanche prochain. Ils sont cette année 64.504 candidats pour 1.489 postes à
pourvoir. Les postulants sont repartis dans sept centres d’examens du
pays : Bamako, Kayes, Sikasso, Ségou, Mopti, Tombouctou et Gao.
Administration
générale, développement rural, finances publiques, trésor, services
économiques, eaux et forêts, santé enregistrent le plus grand nombre de
candidats. La culture générale et autres sont les matières dans lesquelles
composent les candidats.
Arrivés vers 7h30 au lycée «Ba Aminata Diallo»
(LBAD), le ministre du Travail, de la Fonction publique et du Dialogue social,
Dr Fassoum Coulibaly, et ses collègues de l’Agriculture, Lassine Dembélé, de la
Santé et du Développement social, colonel Assa Badiallo Touré, ont assisté à la
montée des couleurs nationales et à l’exécution de l’hymne national par les
pionniers dirigés par Tidiani Coulibaly. C’était en présence du directeur du
Centre national des concours de la fonction publique, Dr Ousmane Magassi,
président du Centre LBAD, du gouverneur du District de Bamako, Abdoulaye
Coulibaly, et de la maire de la Commune III, Mme Djiré Mariam Diallo.
À 8 heures, Dr Fassoum Coulibaly a ouvert dans
la salle n°2 du centre LBAD la première enveloppe contenant les sujets de
l’épreuve du «Génie rural et aménagement hydro-agricole». Le sujet du jour
était ainsi libellé : «Vous êtes nouvellement muté dans une région qui
détient l’un des grands bas-fonds de la contrée. Sa mise en valeur ayant été
demandée par les populations. Décrivez dans l’ordre les actions à entreprendre
pour un aménagement hydro-agricole.
Le
centre accueille 2.033 candidats repartis entre 34 salles. 68 surveillants ont
été mobilisés pour surveiller les épreuves. La consigné affichée devant toutes
les salles était claire pour tout le monde. «Les téléphones portables sont interdits dans le centre».
Certains
candidats ont été renvoyés soit pour non présentation de pièce d’identité ou
encore pour d’autres motifs. Un impressionnant dispositif de sécurité était
déployé pour sécuriser le concours et évacuer des lieux tout candidat qui viole
le règlement intérieur du concours. «On ne peut pas parler de Mali
Kura ou du nouveau Mali et faire des pratiques qui ne sont pas orthodoxes.
La refondation de l’état passe aussi par la bonne organisation des concours et
examens.
Le concours est dédié au mérite. Nous nous engageons à faire un
concours propre basé sur l’équité, l’égalité de chance, la justice et la
transparence», a déclaré le ministre Coulibaly. Il précisera aussi qu’un
concours sert à sélectionner les meilleurs. Pour le ministre en charge du
Travail, les candidats qui donneront le meilleur d’eux-mêmes auront les
meilleurs résultats et réussiront. Et ces admis vont occuper les places à
pourvoir.
De son côté, Dr Ousmane Magassi, au four et au moulin, a confié que toutes les dispositions étaient prises pour le bon déroulement du concours parce que les instructions des autorités sont appliquées à la lettre.
Sidi WAGUE
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