
C’était en présence du directeur national de l’administration de la justice, Djibrilla Maïga et du représentant du Programme des Nations unies pour le développement (Pnud), Filippo Di Carpegna.
La cérémonie de lancement a été couplée à
l’atelier de formation en communication institutionnelle à l’endroit de
certains chefs de parquet de Bamako et de l’intérieur du pays. Cette rencontre
de deux jours vise à renforcer les capacités des participants afin de leur
permettre de mieux maîtriser les outils de la communication dans un
environnement en pleine évolution.
Elle est financée par le Programme d’appui à la stabilisation du Mali à travers le renforcement de l’état de droit (Prosmed) et mis en œuvre notamment par le Pnud. Ce programme, d’une durée de 5 ans, prévoit une série d’appuis au département en charge de la Justice afin de renforcer l’accès et la confiance des populations à des services de justice plus efficaces, redevables et transparents.
Dans le contexte actuel de notre pays marqué
par la «désinformation» et «l’intoxication» sur la toile, la communication est
devenue un important levier de management et de gestion pour tout organisme et
le secteur public n’échappe pas à cette réalité. Le droit à l’information pour
les citoyens et la redevabilité liée aux responsabilités confiées aux agents
publics imposent une maîtrise des outils de communication. Cela, afin de répondre
aux exigences de l’environnement fortement influencé non seulement par les médias,
mais aussi, par les réseaux sociaux et les plateformes offertes par les
nouvelles technologies de l’information et de la communication.
La gestion de
tels flux médiatiques et informationnels ne laisse guère le choix que de «rompre
le silence et de donner la bonne information et au bon moment». «C’est le
combat que nous devons mener, quotidiennement, contre la désinformation et
l’intoxication auxquelles se livrent certains de nos concitoyens dans le but de
saper nos efforts de tous les jours», a invité le ministre de la Justice et des
Droits de l’Homme, rappelant l’engagement de notre pays à restaurer la
confiance entre les citoyens et les services de la justice.
D’après Mahamadou Kassogué, la modernisation et le relèvement du niveau de performance des services judiciaires et pénitentiaires figurent parmi les axes prioritaires de la Loi d’orientation et de programmation du secteur de la justice 2020-2024. La finalité de ce texte est de bâtir un service public de justice accessible, efficace et performant, susceptible de restaurer la confiance des citoyens et des justiciables.
De son côté, le représentant du Pnud a indiqué qu’à ce jour, plus de 45% des populations n’ont pas confiance envers les acteurs de la justice. Pour changer cette perception, selon Filippo Di Carpegna, il est important d’investir afin de renforcer la présence et les capacités des acteurs de la justice sur le terrain. Mais aussi de booster la communication du ministère et des juridictions sur les résultats de leur travail. Car, dira-t-il, celle-ci a un impact direct sur les perceptions des populations.
Bembablin DOUMBIA
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