
La création de cette journée s’inscrit dans le cadre de la promotion de la paix
La création
de la Journée internationale de la paix en 1981, en vertu d’une résolution de
l’Assemblée générale des Nations unies et conformément à sa Charte, s’inscrit
dans le cadre de la promotion de la paix ; un des principaux buts et
raison d’être de l’Organisation des Nations unies. L’Onu invite tous les
peuples, durant cette journée, à déposer les armes et à réaffirmer leur volonté
de vivre en harmonie les uns avec les autres.
Présidée par le représentant du
ministre de la Défense et des Anciens combattants, le général Sidiki Samaké, en
présence du directeur général de l’EMP, le colonel Souleymane Sangaré, la
journée avait comme thème : «évolution des opérations de paix (OP) :
Défis et perspectives dans un environnement complexe». Elle avait pour objectif
d’évaluer les doctrines et approches régissant les opérations de paix face à la
complexité de l’environnement actuel.
Cette journée de célébration de la paix
était l’occasion pour l’EMP et ses partenaires, de se réunir et d’échanger
autour des nouveaux enjeux, défis et perspectives auxquels ils doivent faire
face en tant qu’organisation, institution ou citoyen-acteur au service de la
paix.Le
directeur général de l’EMP a indiqué que la lutte pour la paix est souvent une
tâche herculéenne, tant les conflits d’aujourd’hui sont complexes et imbriqués
les uns dans les autres. «Nous vivons dans un monde où la paix, sans cesse
menacée, se dérobe», a-t-il affirmé.
Le colonel Sangaré a soutenu que les
moments comme aujourd’hui, où l’on honore la paix et où l’on réfléchit à
l’obligation que l’on a de la défendre et de la faire prospérer, sont
particulièrement importants. «Aucune de nos différences de convictions,
d’appartenances, de sensibilités philosophiques, politiques, religieuses,
syndicales ou autres, ne doit faire obstacle à l’expression de cette aspiration
commune à vivre ensemble en paix dans la solidarité, la coopération, la justice
et la fraternité», a sensibilisé le directeur général de l’EMP.
De son
côté, le représentant du ministre de la Défense a exhorté les chercheurs
panelistes à faire des évaluations pertinentes pour aboutir à des propositions
concrètes à adresser à qui de droit. Cela, afin que les missions de maintien de
la paix des Nations unies soient efficaces et que l’Organisation demeure la
garante de la paix et la sécurité mondiales.
«Permettez-moi
de rappeler que dans un monde d’interdépendance, les intérêts des nations sont
liés. Ce qui touche les uns, affecte forcément les autres», a averti le général
Sidiki Samaké. Il a poursuivi en affirmant que la mutualisation des efforts et
le multilatéralisme sincère demeurent essentiels à l’atteinte des objectifs de
paix, de sécurité et de stabilité en Afrique et dans le monde.
Le
représentant du ministre de la Défense a formulé le vœu que les échanges et les
conclusions qui sortiront de cette journée puissent véritablement donner une
bonne impulsion à une nouvelle approche du maintien de la paix. Cela, afin de contribuer au bonheur des peuples qui
souffrent du fléau de la guerre et du terrorisme.
La cérémonie d’ouverture s’est achevée avec la plantation de «l’arbre de la paix» dans la cour de l’École de maintien de la paix, par le représentant du ministre de la Défense, le directeur général de l’EMP et le conseil d’administration de l’établissement (composé de 11 pays membres et d’une organisation sous-régionale).
Jessica K. DEMBELE
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